Les réfugiés burundais du camp de Nakivale en Ouganda disent que les plus vulnérables étaient les jeunes et les femmes. « C’était majoritairement des femmes et jeunes qui ne parvenaient pas à s’habituer à la vie et se lançaient à la consommation de la drogue. Pour le moment, la maladie a diminué progressivement. », précise un agent communautaire.
Selon le représentant des jeunes dans le camp de Nakivale en Ouganda, les maladies mentales ont diminué par rapport en 2015 à leur arrivée dans ce camp. « On ne peut pas affirmer que cette maladie a disparu complétement car, jusqu’aujourd’hui, il y a des gens qui ne parviennent pas à s’habituer à la situation. Parmi les jeunes, cette maladie a diminué par rapport à 2015, année de notre arrivée dans ce camp. », conclut un réfugié.