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Les Burundais réfugiés dans la sous-région n’échappent pas à la répression de Bujumbura
Un plan macabre visant à éliminer les détenus de la crise du troisième mandat jugé de trop a été conçu par des cadres du pouvoir. Ce plan vise à empoisonner ces détenus considérés comme des opposants à travers leur nourriture ou par injection. Les premières victimes se compteraient parmi les prisonniers détenus à Muramvya où une vingtaine d’entre eux auraient reçu du poison dans leur nourriture ce lundi 11 janvier 2016.
Ngozi : Le corps d’une femme violée retrouvé en commune Busiga
Le corps d’une femme violée a été retrouvé ce mercredi 13 janvier 2016 dans la zone Rukeco de la commune Busiga, voisine à celle de Ngozi dans la même province de Ngozi.
AMISOM : Le Commandant du contingent burundais accusé d’entretenir la division au sein des troupes
Des bombes larguées sur Bujumbura font une dizaine de victimes
Dix personnes sont mortes suite à un largage de 3 bombes dans la ville de Bujumbura ce lundi 4 janvier 2016 en pleine journée. La circulation a été perturbée pendant un temps. Une attaque à la bombe qui aurait été revendiquée par un nouveau groupe rebelle qui se nommerait RED TABARA.
Pascal Lisuba, jeune artiste burundais, ne jouera plus de ses instruments traditionnels
Un militant d’opposition burundais assassiné à Nairobi
De nombreux coups de feu, explosions de grenades et tirs de mortiers ont retenti la nuit du réveillon du nouvel an dans plusieurs quartiers de la ville de Bujumbura. Une personne a été tuée, une douzaine de blessés et beaucoup de biens endommagés. Ce vendredi 1er janvier 2016, la journée n’était pas plus calme surtout dans les quartiers nord.
Le sous-Lieutenant Hermès Nduwingoma a été enterré au cimetière de Mpanda au dernier jour de l’année 2015. Ce candidat officier de l’ISCAM a été tué et son corps retrouvé à Nyakabiga alors qu’il avait été blessé lors de l’attaque des camps militaires le 11 décembre 2015. Un ordre de l’Etat-Major de l’armée avait empêché la famille d’enterrer leur fils après la découverte de ce qu’elle considère comme une exécution.
Des obsèques interdites par l’Etat-Major de l’armée au grand désespoir de la famille
Le sous-Lieutenant Hermès Nduwingoma devait être enterré la veille de Noël, mais l’Etat-Major de l’armée dit enquêter sur les circonstances de sa mort d’où l’interdiction de ces funérailles. Ce candidat officier à l’armée burundaise et étudiant à l’Institut Supérieur des Cadres Militaire (ISCAM) a été tué dans des circonstances floues le 12 Décembre au lendemain des attaques sur les camps militaires.
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