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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Les militaires régulièrement cités dans la répression contre des civils continuent de bénéficier de promotions par le pouvoir de Bujumbura. Après la proposition de nomination du Général de brigade Audace Nduwumusi Commandant adjoint de la mission de maintien de la paix en Somalie (AMISOM), un autre officier va être envoyé en mission au sein même de l’AMISOM. Il s’agit du Capitaine François Niyonkuru, pointé du doigt par la population de la commune Mugamba en province Bururi comme étant leur oppresseur.

Ce lundi, de nombreuses hautes personnalités s’étaient rassemblées à l’hémicycle de Kigobe pour un dernier hommage à l’ancien Président Jean Baptiste Bagaza décédé il y a quelques jours en Belgique. Le Président de la République Pierre Nkurunziza, qui se montre très peu dans la ville de Bujumbura depuis sa réélection pour un 3ème mandat, avait tenu à être aux côtés de la famille Bagaza pour cette cérémonie. 

 

L’Association «  Ayons pitié de lui » s’insurge contre les propos de Luc MICHEL, cet homme de nationalité belge d’extrême droite, qui conseille au Président de la République de refuser les négociations. Rénovat Nintunze trouve que ses propos viennent fragiliser davantage le Burundi où les tueries, tortures et emprisonnements font légion depuis une année.
Les femmes burundaises invitées aux pourparlers inter-burundais sous l’égide du médiateur régional affirment que leur principal objectif sera le refus des violences qui continuent de faire des veuves et des mères en détresse. En attendant de se faire entendre, elles ont initié une journée de deuil hebdomadaire dite ‘’lundi noir’’ pour protester contre les assassinats.

Le médiateur dans la crise au Burundi Benjamin Mkapa a reçu vendredi une délégation de la plateforme de l’opposition du CNARED, le Conseil National pour le respect de l’Accord d’Arusha et la restauration d’un Etat de Droit. Cet entrevu avec les principaux opposants du Président Nkurunziza survient dans la foulée de l’annonce du report des pourparlers initialement prévus à Arusha. Le gouvernement n’a pas encore réagi à cette rencontre du médiateur avec ceux qu’il considère comme putschistes et insurgés.

La Confédération des Syndicats du Burundi (COSYBU) s’interroge sur l’insécurité au Burundi à l’occasion de la fête du travail et des travailleurs. La COSYBU constate ainsi l’échec du gouvernement à restaurer la paix et la sécurité alors que le pays réussit à restaurer et maintenir la paix dans d’autres pays étrangers. 
Une partie de la classe politique burundaise s’attend à ce qu’une solution de paix durable soit trouvée pour le Burundi lors du prochain dialogue qui va avoir lieu en Tanzanie.
Au terme de sa septième visite au Burundi depuis le début de cette année, l’Envoyé Spécial du Président américain dans la région des grands lacs a nettement montré au pouvoir de Bujumbura qu’il constitue un blocage à la paix en ne mettant pas en application ses promesses. Tom Perriello évoque ainsi la libération des prisonniers politiques ainsi que le déploiement d’observateurs des droits de l’homme que Bujumbura se refuse toujours d’autoriser.

L’envoi de policiers dont l’effectif se situe entre 30 et 3000, tel est le nombre que le Secrétaire général de l’ONU a soumis au Conseil de sécurité. Il s’agit de trois options que le Conseil de sécurité doit analyser pour les envoyer au Burundi. Pour le secrétaire général de l’ONU Ban Ki MOON, le Burundi se trouve dans une crise profonde. Les organisations de la société civile sont très sceptiques et estiment que l’ONU doit faire plus.

Le Premier Vice-président de la République met en garde les étrangers vivant au Burundi, alors que leurs pays d’origine ont suspendu l’aide apporté au Gouvernement Burundais. Gaston Sindimwo a fait cette déclaration choc samedi lors d’une manifestation dite de paix, de l’unité et du développement. Il s’agit des rassemblements organisés depuis quelques semaines par le pouvoir où des slogans anti-Rwanda ou occident sont régulièrement scandés. 

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