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Plusieurs recommandations formulées à l'encontre du Burundi dans la 29ème session des droits de l'homme
La coopération avec la CPI, c’est l’une des plus importantes recommandations adressées au gouvernement burundais au cours de l’examen périodique universel du pays. Au cours de la 29ème session du Conseil des droits de l’homme, certains pays ont également exhorté le Burundi à reprendre la collaboration avec le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme.
Deux membres du FNL de l'opposition ont été arrêtés à Gasorwe par la police dans l'après-midi de ce Samedi et conduits au cachot de cette même commune. Sidérés, les partisans de ce parti dans la commune Gasorwe condamnent cette chasse à l'homme contre leurs membres.
Le rapport de Human Rights Watch de l’année 2017 indique que le nombre de réfugiés s’accroit sans cesse et que la violence prend de l’ampleur. L’organisation HRW fait savoir que les crimes commis au Burundi, ont été perpétrés par des Forces de l’ordre, les agents du Service national de Renseignement et la ligue des jeunes du parti au pouvoir.
Un burundais torturé par des tanzaniens tout près de son camp de refuge
Un réfugié burundais du camp de Nyarugusu en Tanzanie a été torturé par des personnes qui seraient des Baha. Cela s’est passé tout près de ce camp vendredi 8 décembre 2017. La victime est connue sous le nom de Niyongabo et est dans un état critique. Actuellement, elle est hospitalisée à l’hôpital de l’Unicef situé dans le dit camp.
Ruyigi : Un violeur récidiviste se la coule douce
Les habitants de la commune kinyinya Province Ruyigi dénonce l'impunité dont jouissent les partisans du parti CNDD-FDD. Ces derniers donnent pour cas illustratif, un infirmier de cette localité accusé de viol mais qui est toujours en liberté alors qu'il a été pris en flagrant délit.
Le numéro un du parti FNL en commune Gitanga en détention
Le Président du parti FNL aile d'Agathon Rwasa est détenu au cachot de la police en commune Gitanga depuis ce lundi 04 Décembre. Des sources dans cette commune affirment que Constantin Gisanganya a été d'abord tabassé par des Imbonerakure du parti au pouvoir au moment où il étanchait sa soif dans l'un des bistrots de la localité.
Les réfugiés burundais vivant avec un handicap demandent de l’assistance
Le 03 Décembre est une Journée Internationale des personnes vivant avec un handicap. Cette journée a été célébrée par des burundais du camp des réfugiés de Mahama au Rwanda vivant avec handicap. Reconnaissant de l’aide déjà reçu, ces burundais demandent toutefois aux organisations qui les assistent de leur octroyer des dons en prothèses pour ceux qui n’en ont pas encore, ainsi que des équipements de sports pour les sportifs.
Un habitant de la Province MUYINGA a été sérieusement tabassé ce mardi 28 novembre par le responsable du service national des renseignements dans cette Province. Ce jeune homme est reproché d’avoir croisé son regard. Révoltés, les habitants de MUYINGA demandent aux chefs hiérarchiques de mettre fin à ce genre de pratiques, d’autant plus que ce n’est pas la première fois que cette autorité use de violence à l’endroit des populations innocentes.
La population de Kamanyola manifeste et demande la délocalisation des réfugiés burundais
Manifestation ce lundi 27 novembre des citoyens congolais de la localité de Kamanyola pour protester contre la présence des réfugiés burundais dans cette localité. Pris de panique, ces réfugiés demandent d’être délocalisés vers un autre pays d’accueil car la population congolaise a déjà démontré qu’elle n’a plus besoin de leur présence sur son territoire.
Human Right Watch déplore et accuse : Les Nations-Unies ne réagissent pas sur les menaces que subissent ses experts
Depuis un mois, l’Ambassadeur du Burundi auprès des Nations Unies, Albert Shingiro, menace publiquement de traduire en justice les membres de la Commission d’enquête de l’ONU qui enquêtent sur les exactions commises au Burundi depuis avril 2015, pour diffamation et tentative de déstabilisation des institutions burundaises. Menaces jusqu’ici pas encore condamnées par les Nations-Unies, mandants de ladite commission. Une attitude que dénonce l’organisation internationale de défense des droits de l’homme, Human Right Watch.