
RPA
Des burundais demandeurs d’asile du camp de Nduta souffrent le calvaire par manque de statut reconnu par le HCR
Environ 250 réfugiés burundais au camp de Nduta en Tanzanie sont menacés de famine. Ils sont majoritairement venus du camp de transit de Bukiriro. Ces derniers avaient sollicité asile dans ce pays mais sans aucune réponse favorable. Ils vivent donc dans ce camp sans être reconnus comme réfugiés.
La prison de Ngozi s’illustre par son surpeuplement carcérale
Surpeuplement à la prison centrale de Ngozi. Constat des défenseurs des droits des prisonniers. Lors d’une visite que ces derniers ont effectué ce jeudi dans la dite prison, les prisonniers en ont profité pour se plaindre des mauvaises conditions de détention dans cette maison carcérale.
A Mutumba dans Karusi, les militaires remplacent l’administration : ils bastonnent et font payer des amendes injustifiées
Les militaires qui opèrent en commune Mutumba de la province KARUSI sont accusés de tabasser et d’exiger des amendes aux habitants de la localite. Ces derniers demandent que cessent les pratiques de ces militaires.
Les familles des militaires du camp de Mukoni dénoncent les manoeuvres dilatoires dans le procès des attaques du camp
Les familles des 18 militaires incarcérés depuis Janvier 2017 accusés d'avoir joués un rôle dans l'attaque du Camp de Mukoni déplorent la lenteur observée dans la procédure de ce dossier. L'audience prévue pour ce 12 Octobre au Tribunal de Ngozi n'a pas eu lieu. Ces familles parlent de manoeuvres dilatoires pour maintenir les leurs en détention.
Des détenus de la prison de Muyinga au Nord du Burundi se plaignent qu’ils n’ont pas accès aux soins de santé. Ils affirment que des fois les infirmiers refusent de les soigner et des cas de morts sont enregistrés.
La journée de la fille s’est passée avec son lot de problèmes pour la burundaise: abandon de scolarité, mariage précoce…
Célébration ce 11 Octobre,de la journée internationale de la fille sous le thème "Autonomisation des filles avant/pendant et après la crise". Malgré leur grand effectif d'environ 1.1 milliards selon l'ONU FEMMES, il est regrettable de voir que jusqu'à ce jour que dans certains pays, les filles sont désavantagées et endurent certaines discriminations. Au camp de Mahama au Rwanda, Celles qui vivent dans des situations de crise souffrent encore plus et se voient dans la plupart des fois, contraintes à des mariages précoces.
La stérilité et l’infertilité, sources de violences à l’égard des femmes du camp de Mahama
Elles font partie des causes des conflits entre le mari et sa femme à Mahama. La stérilité et l’infertilité constituent parfois l’origine des violences à l’égard des femmes dans ce camp des réfugiés burundais situé au Rwanda. Les femmes réfugiées indiquent que certains hommes décident de limiter leurs contributions dans leurs ménages respectifs pour protester contre cette absence de procréation.
Les réfugiés de Mahama, en situation de handicap réclament d’être traités en fonctions de leurs conditions physiques
Les réfugiés burundais vivant avec le handicap au camp de Mahama au Rwanda disent qu’ils rencontrent beaucoup de difficultés liées à leur handicap. A l’occasion de la journée internationale du Handicap, célébrée chaque 9 Octobre, ils lancent un appel aux âmes charitables de leur venir en aide.
Les Imbonerakure de Mpimba font la loi, ils rackettent les petits commerçants, avec la complicité de l’administration carcérale
Les détenus de la prison centrale de Mpimba accusent le chargé de sécurité d’extorsion et d'intimidation envers les détenus, contestataires du troisième mandat de Pierre Nkurunziza. Julien Manirakiza dit Dume coopère avec certains imbonerakure de cette prison. Ces prisonniers demandent à la direction de la prison de les protéger des gens qui les malmènent.
Alors que le monde célèbre la journée de la non-violence, les burundais vivent ou subissent la violence instaurée par l’Etat
Célébration ce 2 Octobre de la journée internationale de la non-violence. Une journée qui arrive au moment où la violence et la violation des droits humains sont aujourd’hui plus qu’une réalité au Burundi, en témoigne le récent rapport de la Commission onusienne d’enquête sur les violations des droits de l’homme au Burundi depuis Avril 2015. Assassinats, tortures, viols et autres abus et exactions atteignent de plus en plus une ampleur inquiétante tant pour la communauté nationale qu’internationale.