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“La voix des sans voix”

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Le  Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme   appelle les autorités burundaises à appliquer les recommandations de la Commission d'enquête de l'ONU. Une commission que Bujumbura qualifie d’illégale et rejette le contenu de leur rapport qu’il taxe de tendancieux.

Certaines filles victimes des abus sexuels dans le camp des réfugiés de Mahama affirment que le préservatif n’est presque jamais utilisé. Elles expliquent que leurs partenaires sexuels les obligent à laisser tomber ce moyen de protection.

Les termes ‘’Violence à l’égard des femmes’’ désignent tous les actes dirigés contre le sexe féminin, causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques.

Les réfugiés burundais signalent que les viols des filles se commettent à l’intérieur comme à l’extérieur du camp de Nduta en Tanzanie. Certains réfugiés accusent les autorités du camp de fermer les yeux face à la situation. 

Les enfants sont, d’une manière générale, exposés aux violences sexuelles et sexistes dans les camps des réfugiés. Le sont plus, certaines catégories d’enfants selon le HCR. L’agence onusienne pour les réfugiés indique que ces enfants doivent être protégés d’une manière particulière.

La Coalition Burundaise pour la Cour Pénale Internationale trouve qu'il n'est pas normal que le gouvernement qui a refusé toute collaboration avec l'équipe d'experts des Nations-Unies cherche à avoir la liste des présumés auteurs des crimes contre l'humanité. Maitre Lambert Nigarura, président de cette Coalition précise qu'il s'agit d'une stratégie du pouvoir de Bujumbura pour éliminer des témoins gênants et effacer ainsi les preuves avant que les enquêtes de la Cour Pénale Internationale ne commencent. 

Le parlement a mis en place une commission spéciale composée de 12 députés. La mission est de vérifier le contenu du dernier rapport des experts onusiens sur les violations des droits de l’homme commises au Burundi.

L’International Refugee Rights Initiative demande aux autorités burundaises à cesser toute violation des droits de l’homme et désarmer les jeunes imbonerakure. Dans un rapport du mois d’Août 2017, cette organisation internationale de défense des droits de l’homme en particulier les droits des réfugiés  interpelle la communauté internationale à infliger des sanctions ciblées aux représentants du gouvernement, aux chefs des imbonerakure et aux acteurs de l’opposition responsables de violences et de violations  des droits humains.   

Les régimes dictatoriaux utilisent souvent les disparitions forcées pour faire peur aux opposants politiques. Des experts d'Amnistie Internationale proposent la pression internationale sur ces gouvernements pour que les auteurs de ces crimes ne continuent pas de jouir de l'impunité et ainsi mettre fin à ce genre de criminalité.

Cinq policiers viennent d’être révoqués de ce corps par décision de la Direction Générale de la police. Tous les cinq font partis des 18 policiers et  militaires incarcérés à la prison centrale de Ngozi  pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Une décision jugée injuste par les membres de leurs familles d’autant plus qu’aucun jugement n’a été prononcé dans cette affaire.

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