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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Une centaine de rapatriés burundais en provenance de la Tanzanie serait retournée dans ce pays d’asile dans moins de deux mois par crainte de représailles. Ils indiquent qu’ils sont souvent victimes de harcèlement, accusés par des administratifs locaux et des Imbonerakure d’être des rebelles ou des espions des mouvements armés.

Cette mesure a été annoncé dans un communiqué du 18 Janvier 2019 en réaction aux reproches sur plus de 1.9OO vêtements semblables aux treillis militaires qui ont été donnés aux réfugiés des camps de Nduta et de Mtendeli, dans l’ouest de la Tanzanie, ainsi qu’aux membres de la communauté hôte vivant à proximité des districts de Kibondo et de Kakonko.

Le retrait de ces militaires s’inscrit dans la mise en application de la résolution 2431 du conseil de sécurité des Nations-Unies et du 27ème sommet de la coordination militaire des opérations de l’union africaine en Somalie. Ce dernier demandait le retrait de mille militaires burundais du contingent Amisom jusqu’au 28 Février 2019. Une décision qui avait été protestée par le gouvernement burundais.

Une réunion des chefs d’état des pays de l’EAC est prévue pour le 1er février 2019. Ceci apparait dans une correspondance que le ministère ougandais des affaires de la communauté Est-africaine a adressé au secrétariat exécutif de cette communauté. Ledit sommet des Chefs d‘état de l’EAC dont Yoweri Kaguta Museveni assure la présidence avait été reporté deux fois au cours de l’an dernier 2018.

Quatre jeunes de la commune Gatara sont portés disparus depuis 4 jours après qu’ils aient été arrêtés et remis au commissaire provincial de police dans la nuit de ce Dimanche. Ils seraient victimes d’une chasse à l’homme faite par des Imbonerakure et des agents des forces de l’ordre dans différentes communes de la province Kayanza à l’endroit de tous les jeunes membres des partis politiques de l’opposition.

Les défections continuent au sein de la plate- forme Cnared-Giriteka. Des actes qui confirment la fragilisation de l’opposition burundaise. Depuis sa création, certaines organisations politiques et de la société civile ont claqué la porte de cette plateforme.

L’ONG Handicap International a fermé définitivement son programme au Burundi depuis ce lundi. Elle refuse de se soumettre aux exigences du gouvernement burundais d’appliquer des quotas ethniques dans le recrutement du personnel des organisations non gouvernementales.

« Vos conflits nous font prospérer. » C’est ce qu’a déclaré John Pombe Magufuli le jeudi dernier lors de la signature d’un contrat de vente du maïs au PAM. Le président tanzanien semblait s’adresser à certains pays voisins. Son discours avait un autre but : rassurer le Programme Alimentaire Mondial qui prend en charge les réfugiés de différentes nationalités, y compris les burundais.

Les maisons de certains opposants en exil visées par le régime Nkurunziza. Instrumentalisant la justice et la police, le numéro un burundais aurait pour objectif de se venger de l’injustice que sa famille aurait subi dans le passé.

Contradiction dans les propos du numéro un burundais et de la première dame. Au moment où Pierre Nkurunziza dit que la sécurité est bonne au pays et invite les réfugiés à rentrer au pays, sa femme, elle, dénonce les assassinats et meurtres qui continuent à se commettre, sans oublier l’économie et la bonne gouvernance qui sont en décadence, ce qui fragilise, selon toujours la première dame, la stabilité du pays.

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