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“La voix des sans voix”

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La pancarte qui suscite la haine ethnique implantée à Nyambeho en commune Giheta de la province Gitega a été enlevée. Le gouverneur de Gitega a pris décision de l’enlever ce 8 Octobre 2018. La pancarte avait suscité des réactions contradictoires.

Les ONGs étrangères titulaires des hôpitaux et écoles sont les seules qui continueront leurs activités sans interruption. Au cours de la réunion de ce mardi avec les représentants de ces ONGs, le ministre de l’intérieur leur a présenté la liste des exigences de Bujumbura. Et une fois ces exigences remplies, l’ONG pourra reprendre les activités avant le délai annoncé des 3 mois de suspension.

Suspension de l’opération de rapatriement volontaire des réfugiés burundais se trouvant en Tanzanie. Les réfugiés qui étaient rassemblés au camp de Nduta et qui s’attendaient à être rapatriés ce mardi  ont eu finalement l’ordre de rejoindre leurs ménages respectifs. La cause serait liée à la suspension par Bujumbura des ONGs Internationales œuvrant au Burundi, dont celles qui aidaient dans l’accueil des réfugiés rapatriés.

Depuis longtemps, les jeunes ont fait souvent sujet de discussion quant à leurs exploitations par les leaders politiques. Les événements qui se sont succédés depuis 1962 après l’Indépendance du Burundi ont aussi prouvé cette hypothèse. Plusieurs mouvements révolutionnaires ont été créés notamment les JRR (Jeunesse révolutionnaire Rwagasore), le mouvement JEDEBU, les sans échecs, Ivyuma vy’indege et enfin récemment les Imbonerakure du parti au pouvoir Cndd- fdd, connus pour leurs crimes et violences envers leurs concitoyens. Toutefois, d’autres jeunes se sont démarqués par le courage et leur volonté de changement ; à l’exemple le Prince Louis Rwagasore, héros de l’Independence du Burundi. Au Rwanda, des jeunes réfugiés se sont ralliés et créer le Mouvement International des Jeunes, un mouvement crée depuis octobre 2016

L’insuffisance des moyens serait à l’origine du retard dans le rapatriement volontaire des réfugiés burundais se trouvant en Tanzanie. Le Haut-Commissariat pour les Réfugiés HCR indique qu’il n’a pas pu honorer ses engagements comme convenu dans la réunion tripartite de mars 2018 avec le Burundi et la Tanzanie vu que sur soixante-dix milles refugiés enregistrés pour le rapatriement volontaire, seulement la moitié sont rentrés cette année.

Les réfugiés burundais devraient passer outre les intérêts sectaires et unir leurs forces pour contribuer à résoudre la crise à l’origine de leur exil. Les sages, les avocats ; les politiques ; les organisations de la société civile ; les femmes, les jeunes, les médecins et les journalistes réfugiés au Rwanda semblent avoir compris la force d’un travail en commun. Ces différents groupes se sont rapprochés sur l’initiative du Mouvement des Femmes et Filles pour la paix et la Sécurité au Burundi.

Certains réfugiés qui voulaient rentrer au Burundi, sont bloqués dans les camps en Tanzanie faute de moyens selon le HCR. L’agence onusienne explique, toutefois, que malgré le plan de rapatriement volontaire vers le Burundi, il y a un millier de burundais qui fuit chaque mois le pays. 

La crise politique qui a éclaté en 2015 au Burundi a fait et continue de faire plusieurs réfugiés.Ces burundais fuient leur pays natal, en quête de sécurité dans les pays de la sous-région. Trois ans après le début de la crise, ces burundais, aujourd’hui sous statut de réfugiés, font face à plusieurs et différentes difficultés. Certaines étant spécifiques à leurs pays d’accueil.

Le ministère des affaires étrangères a sorti ce 11 Septembre 2018 une correspondance dans laquelle il déclare les 3 experts des Nations-Unies indésirables au Burundi. Une décision que les défenseurs des droits de l’homme au Burundi considère comme inopportune car les résultats de ces enquêtes ne seront pas détruits et les crimes commis restent gravés dans la mémoire des burundais.

Le mensonge, le négationnisme et la terreur, sont les traits caractéristiques qu’incarne le pouvoir de Bujumbura. Ceci transparait dans différents discours tenus par les responsables politico-administratifs, à l’instar de ceux tenus ce mardi lors du débat au parlement burundais, des propos qui se sont soldés par un communiqué qui nie le contenu du rapport des experts des Nations-Unies sur le Burundi. 

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