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“La voix des sans voix”

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L’espoir d’aboutir à un consensus d’ici la fin de la semaine est très minime selon les sources à Arusha. Pourtant, les médiateurs envisageaient même la signature d’un Accord par tous les protagonistes à la clôture en présence des Chefs d’Etats de l’EAC.

Actualisation des données en cours au camp des réfugiés burundais de Lusenda en République Démocratique du Congo.  Ce dénombrement est organisé par le HCR pour connaitre l’effectif total des réfugiés qui vont bientôt bénéficier des cartes biométriques des réfugiés, ID, après qu’un certain nombre d’entre eux ait quitté ce camp lorsque des combattants Maï Maï avaient conquis une grande partie du territoire du sud Kivu.

Un climat d’intimidation à l’endroit des représentants des organisations de la société civile proche du Gouvernement burundais et ceux des confessions religieuses règne à Arusha en Tanzanie où se tient depuis le 27 Novembre la quatrième session des pourparlers inter-burundais. Certains ont commencé à quitter Arusha et rentrer sur Bujumbura, prétextant avoir d’autres obligations urgentes à honorer.

Les réfugiés burundais rescapés du carnage du 15 septembre 2017 qui a couté la vie à plus de 30 personnes à Kamanyola en République Démocratique du Congo, saluent l’assistance que leur octroient les ONGs œuvrant dans ce domaine. Ils demandent toutefois au gouvernement congolais de leur accorder le statut de réfugié tout en respectant leurs croyances religieuses.

Les acteurs politiques de l’opposition insistent sur le strict respect des accords d’Arusha et surtout la non-révision de la constitution du Burundi. De surcroit, mettre l’organisation du processus électoral de 2020 sous la responsabilité de l’ONU. En revanche, Bujumbura demande plutôt au facilitateur d’appuyer le Gouvernement du Burundi pour traduire devant la justice les putschistes du 13 Mai 2015. Quant à la révision de la constitution et l’organisation des élections, elles ne relèvent qu’à la souveraineté de l’Etat, souligne-t-il. C’est en substance les points sur lesquels ont insisté les deux groupes au cours des pourparlers inter-burundais à Arusha dans leur proposition au facilitateur pour la résolution pacifiquede la crise en cours au Burundi.

Une semaine après le début du quatrième round des pourparlers inter-burundais qui se tient à Arusha en Tanzanie. Les participants ne se sont pas encore rencontrés en plénière. Ce dimanche 3 Décembre 2017, les travaux en groupes ont continué pour analyser les positions sur les huit points donnés par la médiation. La plénière est prévue ce lundi 4 Décembre. Selon nos sources, Pascal Nyabenda, président de l’Assemblée nationale serait déjà à Arusha. Des réactions fusent du côté des opposants du pouvoir de Bujumbura à propos de ces pourparlers inter-burundais en cours.

Les pourparlers inter-burundais qui se déroulent à Arusha en Tanzanie n’inspirent pas confiance et ne pourront donc pas trouver une solution pacifique à la crise qui secoue le Burundi. Analyse faite par trois tanzaniens, spécialistes en politique internationale. Ils font savoir également que le Facilitateur Benjamin William MKAPA se range systématiquement du côté du pouvoir de Bujumbura.

Si la médiation n’y met pas du sien pour arriver à la confrontation entre tous les protagonistes dans le conflit inter-burundais, les pourparlers en cours à Arusha risquent d’être brusquement interrompus.

En effet, à part un autre groupe de participants qui est arrivé aujourd’hui, après 4 jours, rien n’a changé et le climat reste toujours tendu.

Au troisième jour des pourparlers inter-burundais  à Arusha, les consultations en groupe ont  engendré d’autres petits groupes selon leurs positions et revendications. Cette session du dialogue inter burundais entamée ce 27 Novembre n’ajoutera rien dans le processus de résolution du conflit burundais, conclut des experts en politique compte tenu du calendrier, des participants et des organisateurs.

Dr Jean MINANI revient à la tête du CNARED-GIRITEKA depuis Mercredi 28 Novembre 2017. Dès sa nouvelle réélection, il a annoncé sa détermination à contribuer plus que jamais à la résolution du conflit inter-burundais.

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