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“La voix des sans voix”

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La Ligue Iteka salue la position de l’Union européenne d’ouvrir des discussions avec le gouvernement burundais afin de trouver  de solutions à la crise sociopolitique qui secoue le pays depuis Avril 2015. Cette association de défense des droits de l’homme exhorte le gouvernement burundais de s’apprêter à ces discussions pour l’intérêt de son peuple.

C’est ce lundi que le conseil Européen a adopté la lettre invitant le Burundi à « des consultations conformément à la procédure de l’article 96 de l’accord de partenariat UE-ACP en cas de non respect des éléments primordiaux de l’accord qui sont les droits de l’homme, les principes démocratiques et l’Etat de droit ».

Une liste d’une vingtaine d’opposants, frondeurs du parti au pouvoir, hauts gradés de l’armée et activistes de la société civile avait déjà filtré du bureau du Procureur Général. Des noms de personnes recherchés pour leur participation présumée à la tentative de coup d’Etat de mai 2015. Une nouvelle liste qui a également pu filtrer contient le nom de 3 de nos confrères journalistes. 

Dans un communiqué sorti ce samedi 24 Octobre 2015, l’équipe de ces envoyés internationaux dit « accueillir » chaleureusement et soutenir la résolution de la commission Paix et Sécurité de l’Union Africaine du 17 Octobre 2015 en rapport avec la crise au Burundi. Ces envoyés consentent totalement sur le fait que « seul un dialogue véritable et inclusif, basé sur le respect des accords d’Arusha pourrait permettre aux acteurs burundais de trouver une solution consensuelle face à la crise que vit leur pays, préserver la paix, consolider la démocratie et la primauté de la loi ».

Le Rwanda a opté pour une résolution de conflits par voie diplomatique et pas de polémique entre les pays voisins avec une histoire commune. C’est en substance le message de la Ministre des relations extérieures et porte-parole du gouvernement rwandais dans une conférence de presse animée à Kigali ce jeudi. C’est au moment où le gouvernement de Bujumbura accuse le pays des milles collines d’être de mèches avec les déstabilisateurs de son pouvoir.

Les quinze membres de la Commission Nationale du Dialogue Inter-Burundais ont prêté serment ce vendredi matin  à GITEGA devant le Président de la République Pierre NKURUNZIZA. Avaient aussi rehaussé de leur présence ces cérémonies, le Président de l'Assemblée Nationale et son vice-président, le vice-président du Sénat, les deux vice-présidents de la République, les membres du gouvernement, les parlementaires et des représentants du corps diplomatique,  les gouverneurs de province,  différents cadres de l'Etat et les chefs de service œuvrant à GITEGA.

La lettre du Procureur Général de la République adressée au Ministre de la Justice et référenciée N° 552.10/617/BV/2015 n’a filtré que cette semaine. Elle date pourtant du 12 octobre 2015. L’objet de cette correspondance est une demande d’extradition d’une douzaine de personnalités.

Elles sont toutes unanimes : « le Burundi est confronté à une sévère crise sécuritaire et sociopolitique ». Une centaine de femmes, toutes catégories confondues, se sont rassemblées ce mardi pour échanger et réfléchir sur ce contexte qui prévaut au Burundi et à leurs contributions pour son amélioration.

Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine (UA) a demandé samedi que s'accélèrent les préparatifs de déploiement d'une force de paix africaine au Burundi, où se poursuivent les violences politiques.

 

Dans un communiqué de presse sorti ce vendredi 16 octobre 2015, l’Envoyé Spécial du Président américain dans la région des grands lacs appelle à nouveau le Gouvernement du Burundi à « engager un dialogue incluant toutes les parties concernées pour représenter tous les citoyens du Burundi afin de revenir à la voie du développement économique et démocratique ». Pour Tom Perriello, ce dialogue est meilleur s’il est facilité par une médiation internationale « dans un endroit considéré comme sûr et équitable ».   

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