Il est inconcevable que le gouvernement puisse décider de retirer plus de 7 milliards dans certains secteurs sensibles comme celui de la santé pour financer les élections. Propos du président de la PARCEM, Faustin Ndikumana. Pour lui, c’est un indicateur de l’impossibilité du gouvernement à procéder au dispatching du budget dans différents rubriques. La PARCEM demande au gouvernement burundais d’approcher plutôt les bailleurs traditionnels pour contribuer financièrement au déroulement du processus électoral.