A côté des écoliers normalement affectés au lycée SCHEPPERS, ce lycée accueille aujourd’hui des écoliers de l’école primaire EPJP, école primaire du jardin publique. Une école qui est menacée d’effondrement suite aux éboulements des berges de la rivière Ntahangwa. Entre autres solutions pour avoir de la place pour tous les écoliers, l’autorité du lycée SCHEPPERS a décidé de fondre en une seule classe, deux classes parallèles, ou alors adopté le système de double vacation.
Ainsi, dans ce lycée, l’on retrouve des classes avec plus de 80 élèves. Un nombre qui, selon des enseignants de cette école est difficile à encadrer. Ils craignent la chute de rendement. Même pendant la récréation, c’est difficile de surveiller toute une population chinoise.
Quelques écoliers trouvent des failles facilement pour sortir des enceintes de l’école ou certains ne reviennent même pas ce jour. Le surnombre sur cette école est un handicape également pour la salubrité de l’école.
Pendant la récréation, les enfants font la queue devant les latrines et les moins résistants se soulagent dans la cour. Ce pendant sur ce point, les enseignants ont adopté une stratégie. Pendant les heures de cours, les classes sont libérées une a une pour donner l’occasion aux écoliers pour aller se soulager.