. Gertrude Kazoviyo ajoute en outre que cette mesure du CNC a des conséquences sur la recherche de la justice et sur les citoyens qui ont soif de connaître la vérité sur les révélations de Pierre Claver Mbonimpa. Le secrétaire général de la Ligue Iteka indique que les défenseurs des droits de l’homme sont prêts à protéger tout citoyen qui possède des informations en rapport avec les entrainements paramilitaires des jeunes burundais au Congo afin que la justice soit éclairée pour que soit libéré Pierre Claver Mbonimpa.
( Photo: Professeur Gertrude Kazoviyo, secrétaire général de la Ligue burundaise des droits de l'homme Iteka )

 « Le Conseil National de la Communication est en train de violer la loi en refusant à un citoyen de témoigner sur ce qu’il a vu à propos des exercices paramilitaires des jeunes burundais au Congo. » C’est le point de vue de Gertrude Kazoviyo, secrétaire général de la Ligue burundaise des droits de l’homme Iteka. Cela après que le CNC ait adressé une correspondance à la RPA lui demandant d’interrompre les témoignages de Pascal Bizimana