
Un infirmier de l’hôpital de Gihofi sous les verrous pour une éventuelle faute professionnelle déclenche une grève du personnel
Le personnel de l’hôpital de Gihofi en commune Bukemba de la province Rutana est en grève depuis l’avant midi de ce mardi. Ils s’insurgent contre l’arrestation d’un infirmier de cet hôpital. Ce dernier aurait aidé une femme à accoucher mais n’a pas pu sauver l’enfant. D’où il a été incarcéré pour homicide.
Une action humanitaire monnayée par l'hôpital de Bururi
Grogne de certains malades du sud du Burundi qui n’ont pas été reçus à l’hôpital de Bururi pour être soigner par des chirurgiens bienfaiteurs. Ces personnes font savoir que la direction de cet hôpital les a obligés à payer les frais de consultation au moment où elles avaient été informées que le service était gratuit.
Maladies de mains sales : Crainte des élèves et enseignants de l’école fondamentale de Gishubi
Une année vient de s’écouler sans que l’école fondamentale de Gishubi en commune Muruta de la Province Kayanza n’ait pas de lieux d’aisance. Les élèves et les enseignants ont peur d’attraper des maladies de mains sales. Cette école compte trois enseignants et 260 élèves répartis dans trois salles de classe. Pour le moment, ils se soulagent dans la nature, faute d’avoir de latrines.
A Kinanira, les sociétés en charge des immondices ne passent plus et les habitants craignent d’éventuelles maladies
Des immondices de diverses sortes se trouvent entassées dans les ménages du quartier Kinanira III de la commune Muha en mairie de Bujumbura. Les habitants de ce quartier précisent qu’un mois vient de s’écouler sans qu’il y ait ramassage de ces déchets ménagers. Ces habitants s’inquiètent qu’ils peuvent être attaqués par des maladies de mains sales.
Les réfugiés de Mahama satisfaits de la campagne de lutte contre la malaria qui avait pris des proportions inquiétantes dans le camp
Les responsables de la santé dans le district de Kirehe à l’Est du Rwanda, en collaboration avec les représentants du ministère ayant les réfugiés dans ses attributions MIDIMAR en sigle, ont tôt ce lundi matin 30 Octobre lancé officiellement cette campagne de pulvérisation d’insecticides dans les maisons du camp de mahama.
Choléra resurgit dans Rugombo suite au manque d’eau courante
Le choléra signalé dans la commune Rugombo de la province Cibitoke. 15 personnes présentant des symptômes de cette maladie ont été recensées au centre de santé de cette commune. Trois personnes seraient mortes suite à cette maladie avant de se faire soigner.
Les réfugiés de Mahama se plaignent du manque de soins suite au départ des infirmiers du camp
Les réfugiés burundais du camp de Mahama au Rwanda dénoncent qu’ils ne sont plus reçus comme d’habitude au centre de santé de ce camp. Cela serait dû à 5 infirmiers de ce centre de santé qui ont changé leur lieu de prestation. Ces réfugiés craignent la détérioration de leur état de santé si ces infirmiers ne sont pas remplacés.
Le ministère de la Santé perd la confiance du Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
La gestion des subventions des programmes au ministère de la santé publique sera désormais assurée par le PNUD. Dans une correspondance adressée au ministre de tutelle, Le Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme motive cette décision par la faible capacité d’absorption des fonds et les défaillances constatées dans la gestion financière et la passation des marchés.
Une augmentation des maladies à l’origine des troubles psychiatriques serait une des consequences de la crise burundaise
Chaque 10 octobre de l'année, le monde celèbre la journée internationale de la santé mentale. Célébrée cette année sous le thème " la dépression" l'organisation mondiale de la santé indique que 300 millions de personnes souffrent de cette maladie. Dans un communiqué sorti à cette occasion, le ministère de tutelle affirme que la dépression fait rage au Burundi. Plus de deux milles personnes souffrent de troubles mentaux.
Les réfugiés de Kakuma se plaignent de leur prise en charge médicale
Plaintes des burundais réfugiés au Kenya au camp de Kakuma. Ils n’ont pas accès aux soins de santé. Ils affirment ne pas avoir droit aux médicaments ; pire lorsqu’il doit y avoir un transfert de malade à l’hôpital, c’est un kenyan qui prend la place.