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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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« « La presse a le droit d’exprimer sa colère face aux injustices que subit Pierre Claver Mbonimpa. » Déclaration faite par le directeur de la Radio-Télévision Renaissance. C’était lors d’une conférence de presse qu’il a tenue ce mercredi matin. Innocent Muhozi s’est exprimé ainsi après que les radios Isanganiro, Bonesha FM, RPA, Radio-Télevision Renaissance et le journal Iwacu aient décidé de ne pas diffuser la conférence publique des porte-paroles des institutions publiques. Innocent Muhozi a également tenu à préciser que cette décision de ces 5 groupes de médias ne veut influencer la justice. Et pour ceux qui accusent ces 5 groupes de médias de manque de neutralité, le directeur de la Radio-Télé Renaissance rétorque en disant que ces médias ne seront jamais muets face à l’injustice.

L’affaire Mbonimpa risque de creuser le fossé entre les médias privés et les pouvoirs publics. 5 médias indépendants à savoir les radios Bonesha, RPA, Isanganiro, Radio-Télevision Renaissance et le Groupe de Presse Iwacu viennent de se retirer de la transmission en direct de l’émission publique des porte-paroles des institutions de la république qui est prévu ce jeudi 19 septembre 2014.

Selon un communiqué de presse sorti cet après-midi par les responsables de ces médias, cette décision est consécutive à la décision du Tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura de garder en détention le président de l’APRODH malgré son état de santé.     

Dans ce communiqué, les directeurs de Bonesha FM, RPA, Isanganiro, Radio-Télevision Renaissance et Iwacu estiment que la justice burundaise a fait sourde oreille aux multiples sollicitations de la communauté nationale et internationale qui demandaient des mesures d’humanité dans le traitement de l’affaire Mbonimpa suite à son état de santé qui s’est détérioré.

Pour ces responsables des médias, cette décision de ne pas retransmettre en direct l’émission publique des porte-paroles des institutions de la république est un signe de contestation de cette décision du tribunal. Une décision qui est jugée inhumaine.

Les Etats-Unis d’Amérique, la France et l’Union Européenne avaient tous récemment demandé des mesures d’humanité dans le traitement du dossier Mbonimpa.               

" Est-ce que le président Nkurunziza va briguer un troisième mandat à la lecture de la Constitution et des Accords d'Arusha", se demande le journaliste qui a couvert et commenté de grands événements de son pays, le Burundi. Antoine Kaburahe, directeur du Journal Iwacu, appelle le président Nkurunziza à sortir de son silence. Le directeur du Journal Iwacu a tenu ces propos lors d’une conférence de presse qu’il a animée ce vendredi matin lors de la sortie de son livre intitulé : « Cinq ans d’éditoriaux et de réflexions. »  Le directeur du Journal Iwacu a également fait remarquer l’existence d’une régression sur le plan démocratique et ce, malgré la montée de la liberté d’expression.      

Les journalistes Ernest Pablo Baryuwabo de la radio Isanganiro, Abbas Mbazumutima du journal Iwacu en ligne et Edouard Madirisha du journal Iwacu, catégorie presse écrite ont remporté le premier prix de la compétition organisée par OSCAR (Organisation de la Société Civile Appuyées et Renforcées).    Ce prix intitulé « Les OSCARS de la bonne gouvernance » récompensait dans chaque catégorie, les journalistes qui ont produit un meilleur reportage ou article sur le rôle de la société civile dans la promotion de la bonne gouvernance au Burundi. A part ce premier prix qui équivaut à un million de francs burundais dans chaque catégorie, les OSCARS ont également décerné des prix à 6 autres journalistes dans une cérémonie tenue hier samedi à l’Institut Français du Burundi.

Un journaliste du Groupe de presse « Iwacu » a été arrêté en province Cibitoke, précisément à Bukinanyana ce lundi. Christian Bigirimana rencontraient des sources dans le cadre d’une enquête liée à la mort du père du Général Gervais Ndirakobuca surnommé Ndakugarika, chef de cabinet au Service national des renseignements. Il a été arrêté par un jeune accompagné par un policier, les 2 individus disent que l’ordre est venu d’un haut. Ils ont retiré les documents au taxi moto qui transportait le journaliste, avant de les forcer à prendre la route vers la zone Ndora, toujours en province Cibitoke. L’administrateur communal de Bukinanyana, Floride Nibitegeka promet de suivre de près cette affaire. Informations que nous tenons du site du journal « Iwacu ». Pour rappel, le père de Ndirakobuca  a été tué par un de ses neveux, il y a quelques jours à Bukinanyana. L’accusé a avoué le crime et il a été condamné à 20 ans de prison ferme. Mais sa famille continue à être persécutée.

Mais selon les dernières nouvelles, le journaliste Christian Bigirimana a été relâché et il a pu continuer son travail, nous apprend-t-on de la rédaction du journal Iwacu.

 

Le Conseil National de la Communication met de nouveau en garde la RPA. Dans une décision sortie ce jeudi, le CNC se dit prêt à prendre des sanctions administratives plus sévères en cas de récidive. Cette décision du CNC concerne les informations diffusées par la RPA en dates du 21 et 22 avril 2014 sur un incident survenu à la Banque centrale. La direction de la RPA estime que cette mesure vise à déstabiliser les activités de la radio. Pour Bob Rugurika, il s’agit d’un plan de menaces répétitives orchestrées par le CNC.

 

Dans cette décision du 28 août, le Conseil national de la communication revient sur l’information diffusée en direct sur la Radio Publique Africaine en date du 21 au 22 avril 2014. Le CNC indique que le journaliste de la RPA a menti en affirmant qu’il voyait du feu à la banque centrale. Le Conseil national de la communication affirme ainsi que les articles 17 et 18 de la loi sur la presse ont été violés. La direction de la RPA précise à cet effet que la radio n’a jamais dit que la banque des banques prenait feu. Pour Bob Rugurika, directeur de cette station, le CNC est injuste dans sa déclaration dans laquelle il s’appui par ailleurs sur les articles contestés par les professionnels des médias. Bob Rugurika trouve que la décision du CNC va toujours dans le sens d’intimider la radio. Vous saurez qu’il s’agit de la troisième décision prise par le Conseil National de la Communication pour mettre en garde la RPA dans seulement moins de 3 mois où il s’est avéré que même les chansons diffusées à la RPA dérangeaient.   

La radio Bonesha FM a lancé depuis hier la 4ème édition de la compétition Toptentub Music Awards. Davy Carmel Ingabire, coordinateur de cette activité, indique que ce travail vise à soutenir les musiciens qui jouent un très grand rôle dans la promotion des cultures. 13 prix seront distribués le 14 août 2014 aux meilleurs artistes musiciens après sélection du jury et le premier prix sera remporté par le musicien qui aura obtenu le maximum de voix de ses fans. Le directeur de la radio Bonesha FM, Patrick Nduwimana, demande aux musiciens de bien se préparer pour gagner des prix et interpelle les chefs d’entreprises œuvrant au Burundi de créer des opportunités d’affaire avec ces artiste

Le ministre de la Communication accuse certains journalistes de soulever la population à travers les informations qu’ils fournissent. Tharcisse Nkezabahizi l’a déclaré ainsi ce jeudi, c’était lors des questions orales au Sénat. Le ministre Tharcisse Nkezabahizi a en outre mis en garde tous les journalistes que la loi sur la presse qui avait fait couler beaucoup d’encre et de salive, est toujours en vigueur. Et cela malgré l’inconstitutionnalité dans certaines de ses dispositions.

Le journal Iwacu souffle ses 6 bougies ce mercredi. Dans les cérémonies prévues ce mercredi soir, il est prévu l’inauguration d’une nouvelle imprimerie qui est leur propriété. La RPA souhaite un joyeux anniversaire à nos collègues du journal Iwacu et les félicite pour le travail accompli pendant ces 6 ans au service du développement du Burundi.

Les médias ne commettront plus la même erreur qu’en 2010. Lors des dernières élections, la synergie des medias n’a pas eu droit de diffuser en temps réel les résultats des votes. Un droit leur refuser par la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI. Pour le président de l’Observatoire de la Presse Burundaise, OPB, cela a entrainé des polémiques sur les résultats des élections. Innocent Muhozi déclare que les médias ne vont pas apposer leurs signatures sur les principes généraux qui contiennent la même clause qu’en 2010.

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