Welcome to RPA   Click to listen highlighted text! Welcome to RPA Powered By GSpeech

Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

RPA

RPA

Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.

Les Etats Unis et l’Organisation de protection des défenseurs des droits de l’homme de l’Afrique de l’Est et de la corne de l’Afrique condamnent la suspension provisoire des activités des associations de la Société civile burundaise par le ministre de l’intérieur. Une suspension qui est comme une entrave à la démocratie selon les USA et cette organisation des droits de l’Afrique de l’Est.

Le ministère de l’intérieur et de la formation patriotique vient de suspendre provisoirement les activités de 10 organisations de la société civile burundaise. Une décision prise pour des raisons de sécurité affirme Pascal Barandagiye.

Bientôt seize mois vont s’écouler sans que les policiers burundais en mission de maintien de la paix en Centrafrique aient reçu leurs indemnités. Leurs familles vivent dans une misère sans nom alors que selon des sources biens informées, l’argent de ces policiers est versé régulièrement sur les comptes de la banque centrale.

Les habitants de la ville de GITEGA en général et ceux du quartier SHATANYA en particulier se disent fatigués des promesses jugées stériles de l'Administrateur de la commune GITEGA, Valentin NAHIMANA, de pavage des rues et avenues de ladite ville. C'est au moment où cette autorité administrative était présentée à la population ce samedi 3 octobre 2015.

Les motards de GITEGA sont reprochés d'exercer leur métier en violation de la loi. C'est la police et l'administration à GITEGA qui leur reprochent ces violations du code de la route. Ils ont exprimé ces avis ce mercredi lors d'une réunion des deux parties.

Le Gouvernement veut introduire le permis de conduire biométrique au Burundi. Cette mesure passe par la hausse du prix de ce document. Mais l’Observatoire de Lutte contre la Corruption et les Malversations Economiques y voit déjà une corruption à grande échelle.

Les militaires burundais en mission de maintien de la paix en Somalie sont dans une désolation totale ainsi que leurs familles. Cela est dû au retard prolongé du paiement de leurs salaires et sans justification convaincante de la hiérarchie selon ces militaires.

« Même dans les quartiers nouvellement construits, les avenues ne disposent pas d’éclairage public », s’étonnent les habitants du quartier Kinyami 2, un quartier bien nanti baptisé « Gasekebuye » du nom du nouveau quartier haut standing de la ville de Bujumbura.

Selon certains militaires contactés en Somalie, les militaires burundais du 28ème bataillon subiraient le même calvaire. Cette situation entraîne des répercussions graves sur ces militaires et leurs familles. En effet, certaines familles des militaires éprouvent des difficultés pour payer les loyers et la scolarisation de leurs enfants.

Le cabinet du président de la république entretient un mutisme autour de l’achat ou non du nouveau jet présidentiel. L’actuel chef de cabinet, Anatole Manirakiza et son prédécesseur, Alain Guillaume Bunyoni, n’ont rien laissé filtrer à propos de ce jet.

Alain Guillaume Bunyoni, architecte et haut fonctionnaire de l’Etat qui a suivi ce dossier d’achat du jet est catégorique : « Je ne suis pas autorisé de s’exprimer au non d’un service dont je ne suis plus responsable », répond-t-il. Et de poursuivre : « Ce qui est sûr c’est que ce dossier suit son cours normal. » C’est dans ces quelques mots qu’Alain Guillaume Bunyoni a préféré s’exprimer ne laissant rien d’autres s’échapper de sa bouche. De son côté, Anatole Manirakiza s’est réfugié dans une théorie sur le contrôle de l’action gouvernementale. Selon lui, l’Inspection générale de l’Etat, la Cour des comptes et le contrôle parlementaire sont les seuls institutions habilités pour le contrôle gouvernemental. Et de marteler, je cite : « Ce n’est pas par la radio qu’il faut rendre compte au contribuable. » Fin de citation. De plus, Anatole Manirakiza tente de justifier le ministre des Finances. Il n’est pas prouvé que le ministre des Finances ait menti aux parlementaires, a-t-il déclaré répondant à la question en rapport avec le différentiel de plus de 15 milliards de Fbu dépensé pour l’achat du jet présidentiel et les 3 milliards de Fbu  prévus dans la loi budgétaire au chapitre de la contribution de l’AMISOM. En tout état de cause, les 2 hauts responsables ne se sont jamais exprimés ni sur l’état du jet ni sur le processus de son importation vers le Burundi.    


Faire un don

Nos journaux parlés

Qui est en ligne?

Nous avons 645 invités et aucun membre en ligne

Click to listen highlighted text! Powered By GSpeech