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“La voix des sans voix”

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Il y aurait un lien entre les neufs kilogrammes d’ivoire saisi à l’aéroport international de Bujumbura ce dimanche transporté par un individu de nationalité malienne et plus de 300 kg d’ivoire envoyés en Malaisie le 4 octobre cette année. Des sources à l’aéroport de Bujumbura disent que des agents de l’OBR, de la SOBUGEA, d’Air Burundi et de l’aviation civile ont été emprisonnés suite à l’envoi frauduleux de ce colis d’Ivoire depuis plus d’une semaine. Un télégramme de dernière minute apprend à la RPA la libération des quatre agents précités.

L’individu de nationalité malienne arrêté ce dimanche dernier pourrait avoir travaillé depuis deux ans avec un réseau de trafiquants d’ivoire au Burundi. Certains agents de renseignements seraient impliqués dans ce trafic. Ce malien arrêté serait un intermédiaire entre les expéditeurs au Burundi et les récepteurs des colis en Chine et en Malaisie. Plus de 300 kg auraient été acheminés vers la Malaisie. Raison pour laquelle, un agent de l’aviation civile aurait fait un déplacement pour analyser la traçabilité de ce colis d’ivoire.

Depuis son retour, il est dit que 300 kg auraient été envoyés en Malaisie par un vol d’Air Ethiopie avec une lettre de transport délivré par Air Burundi. D’autres sources parlent plutôt de plus de 300kg d’ivoire expédiés par le même cargaison. Ce colis envoyé serait à l’origine de l’emprisonnement de quatre agents de l’OBR, deux de la SOBUGEA, un d’Air Burundi et un autre de l’aviation civile depuis plus d’une semaine.

Des informations qui viennent de nous parvenir indiquent que ces employés du service aérien et fiscal burundais viennent d’être libérés. Toujours est-il que ce colis aurait été envoyé sous le nom d’un employé de l’ambassade de Chine au moment où la représentation diplomatique nie catégoriquement qu’un de leurs employés porterait ce nom.      

Les agents de l’autorité de l’aviation civile du Burundi ont saisi 9 kilomètres de défense d’éléphants à 1h de ce lundi matin à l’aéroport international de Bujumbura. Le directeur général de l’autorité de l’aviation civile, Albert Maniratunga, met en garde tout passager qui voyage avec de tels colis prohibés. Le directeur général de l’aviation civile au Burundi précise que seuls 300 kg de défense d’éléphants sont parvenus à passer illégalement par cet aéroport de Bujumbura au lieu de 1800 kgs cités par la police malaisienne.

L’ambassade de Belgique vient de signer avec le gouvernement burundais ce mercredi 22 octobre 2014 deux conventions l’une dans le cadre du programme d’appui institutionnel aux secteurs de la santé et l’autre dans le cadre de l’appui à la formation professionnelle et technique. Ce volet intitulé « appui aux infrastructures équipements et maintenance » complète quatre autres volets : un appui à la gouvernance au niveau central, un appui à la gouvernance au niveau périphérique, un appui au développement humain et un appui au système national d’information sanitaire « SNTS ». Ces quatre volets totalisent 26 millions d’euro, l’ensemble du programme totalise 35 millions d’euro. Le programme d’appui complémentaire à la formation professionnelle et technique s’élève quant à lui à un montant de six millions. Cette information nous a été communiquée par l’ambassade de Belgique.

Le nouveau jet récemment acquis par la présidence de la république a été en réalité acheté en partie par les fonds provenant de la Mission de maintien de la paix en Somalie « AMISOM ». C’est ce que dénonce le président de l’Observatoire de lutte contre la Corruption et les Malversations Economiques « OLUCOME ». Gabriel Rufyiri parle de détournements des fonds publics car l’achat de ce jet présidentiel se serait fait à l’insu du Conseil des ministres. Gabriel Rufyiri indique qu’une partie des fonds qui ont été utilisés pour acheter l’avion présidentiel provient des personnes qui ont gagné illicitement le marché d’exploitation du nickel de Musongati. Les fonds de l’AMISOM sortis pour cet achat oscillent autour de 8 millions de dollars américains, précise le président de l’OLUCOME. Mais comment sont gérés ces fonds de l’AMISOM ? Gabriel Rufyiri dit avoir interrogé partout au ministère des Finances, au ministère de la Défense, à la présidence de la République, personne ne peut vous dire comment ces fonds sont gérés. Seul le chef de cabinet civil à la présidence peut manipuler ces fonds sur injonction verbal du président de la République, indique le président de l’OLUCOME qui qualifie cela de gestion opaque des fonds publics. Propos recueillis au cours d’une conférence de presse ce lundi matin.

« L’octroi du permis de recherche du nickel de Musongati a bel et bien respecté les procédures légales. » Déclaration du ministre de l’Energie et des Mines, Côme Manirakiza. Selon lui, le code minier du Burundi stipule que ce sont les sociétés intéressées qui saisissent le gouvernement et non l’inverse. La société SAMANKOR à qui le gouvernement burundais a octroyé le permis de recherche est la seule à s’être présentée et le gouvernement burundais lui a octroyé ce permis près avoir mené des enquêtes sur ses capacités, précise le ministre de l’Energie et des Mines.

Et pour la probable revente du permis de recherche dernièrement octroyé par le gouvernement burundais, le ministre Côme Manirakiza dit ne pas être au courant. Il demande aux détenteurs de cette information de leur en aviser.

Une personne grièvement blessée, 287 pièces de pagnes saisies par la Brigade anti-corruption. C’est après des coups de feu qui ont retenti la nuit de ce mercredi dans la commune urbaine de Kinindo dans la localité dénommée Kibenga rural. Les policiers de Kinindo étaient à la poursuite d’un bateau qui faisait débarquer des marchandises dans cette localité.

La commune de Rutovu vient en tête du classement dans la bonne gouvernance tandis que la commune de Bururi est la dernière suivant le même classement. Celui-ci a été fait par une équipe du ministère du plan. Néanmoins,cette équipe a demandé que les cotisations des agents de la commune à l’INSS soient versées à temps.    

Des cartes d’identité seraient en train d’être distribuées d’une façon illégale en commune Kanyosha de la province Bujumbura. Cette distribution serait cautionnée par l’administrateur selon des sources proches des responsables de la commune. Le gouverneur dit avoir exigé la suspension de cette distribution jugé illégale.

25 tonnes d’engrais chimiques ont été saisies par la police anti-corruption ces derniers jours à Kayanza. Les cultivateurs modernes et les commerçants soupçonnés de fraude rejettent toute implication dans cette affaire. Dans une réunion ce mercredi matin à Kayanza, le deuxième vice-président de la république, Gervais Rufyikiri, met en garde tout commerçant qui se livre à la fraude.

Des membres du Conseil communal de Mutimbuzi mécontents suite au refus du gouverneur de Bujumbura de leur donner des documents d’attribution de parcelles. Ces parcelles sont situées à Kinyinya III. Ces conseillers communaux disent pourtant avoir reçu l’autorisation de paiement de la même autorité provinciale. Le gouverneur de Bujumbura, Jacques Minani, accusé de donner ces parcelles à des hautes autorités, déclare que ces terres ne sont pas du domaine de l’Etat et qu’elles ont leurs propriétaires. Il renvoi les plaignants au ministère de l’Environnement.

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