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Le directeur de l'école fondamentale de Rukaramu 2, de la commune Mutimbuzi de la province Bujumbura a été attrapé en flagrant délit avec 100 kilogrammes de farine de maïs qui étaient destinés à nourrir les élèves. Même si ce dernier réfute ces accusations, les parents ayant les enfants à cet établissement demandent que ce directeur soit démis de ses fonctions, surtout que ce n’est pas la première fois qu’il commet une telle infraction.
La CENI accusée d’avoir détourné les fonds alloués au paiement des véhicules utilisés lors du référendum constitutionnel
Les propriétaires de véhicules loués par la CENI lors des préparatifs des élections référendaires réclament à cette institution les frais de deux mois de location. Aujourd’hui, ils désespèrent de pouvoir récupérer leur dû, surtout après que le président de la CENI ait déjà présenté le rapport du budget total utilisé pour l’organisation des dites élections.
Les agents du projet du fonds mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose et la Malaria réclament leur salaire du mois de Mai. La croix rouge, gestionnaire de ce projet, est pointée du doigt. Elle est accusée de trainer les pieds dans le traitement de leurs dossiers.
Le syndicat du personnel de la SOBUGEA décide de saisir la Présidence de la République pour tenter de trouver solution à leurs problèmes. Dans une correspondance adressée au chef de cabinet civil du Président de la République, il demande à cette autorité de recommander au Ministre de tutelle de faire une descente sur terrain, pour recueillir de vraies informations afin de prendre de bonnes décisions.
L’administrateur de la commune Nyanza-lac accusé d’avoir détourné une centaine de millions
Certains membres du Conseil Communal de Nyanza-lac accusent l’administrateur de malversations économiques. Selon eux, une centaine de millions de franc ont été dépensés d’une manière opaque. Et pourtant, tous les documents justificatifs des sorties de fonds sont là.
Au moins 900 millions de francs burundais, c'est le montant que la SOBUGEA envisage utiliser pour la construction d'un stock et des logements du personnel de cette entreprise. Ce personnel dénonce des magouilles dans l’octroi de ce marché d’autant plus qu’il juge ce montant y alloué exorbitant.
Ces engrais chimiques fraudés ont été saisis ce mardi par la police burundaise dans les stocks de la société ALCHEM. Le gérant de cette société confirme avoir un contrat signé en 2015 par le ministère de l’environnement, de l’agriculture et de l’élevage lui autorisant l’importation des pesticides et des engrais chimiques. Le Ministère de la bonne gouvernance affirme quant à lui que le contrat stipule plutôt le contraire.
Les employés de la SOBUGEA intimidés par le N°1 de ladite entreprise alors qu’ils réclament leurs droits
Le personnel de la SOBUGEA qualifie d’acte d’intimidation l’exigence des listes des agents de cette société qui veulent être restaurés par l’employeur. Ce personnel boycotte la restauration par la société en signe de mécontentement à propos de leurs revendications qui ne sont pas réglées.
Grogne chez les travailleurs de la SOBUGEA. Depuis le mois de Mai, la direction de cette entreprise leur oblige d'être membres de la Mutuelle. Le personnel de cette entreprise demande à la direction de la lumière à propos de leurs contributions destinées aux soins de santé. Des contributions qui n'ont pas changé, alors que la mutuelle n'assure pas la totalité des soins de santé comme ce personnel le bénéficiait jusque-là.
Le partage des pots-de-vin à l’origine du bras de fer entre l’administration et la police à Nyanza-lac
La population de la commune Nyanza-lac en province de Makamba s’insurge contre la hausse des prix des produits de la BRARUDI. Elle accuse l’administrateur de cette commune et le président du parti CNDD-FDD dans cette commune d’avoir cautionné cette hausse moyennant des pots-de-vin.