
RPA
Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.
Le personnel de la Sogestal Kirimiro crie à la malversation
Les travailleurs de la SOGESTAL KIRIMIRO accusent leur employeur de la mauvaise gestion des biens de l'entreprise. L'exemple donné est celui des véhicules que cette société fait réparer ailleurs alors qu'il y a des garages avec lesquels elle a signé des contrats.
Grève contre des pots-de-vin d’un policier
Mouvement de grève des chauffeurs de taxi-voitures travaillant sur l’axe Karusi-Muyinga. Ils ont suspendu leurs activités ce vendredi matin pour s’insurger contre les pots-de-vin et la persécution dont ils font l’objet de la part d’un responsable chargé du trafic sur ce tronçon.
Démolition des boutiques en bois à Gitega : les propriétaires crient à l’abus de pouvoir
Ces boutiques en bois détruites sont situées dans la zone urbaine de la commune Gitega province Gitega par le chef de ladite zone ce mardi. Les habitants de cette zone se disent persécutés et déplorent le comportement de cette autorité car n’étant même pas averti de ce projet.
Les conducteurs de Vélo dans la zone Bwiza de la Mairie de Bujumbura dénoncent le comportement d’un des responsables de la police à Jabe. Ils accusent un commissaire de la police connu sous le nom de Benjamin de saisir leur vélo pour enfin leur imposer une somme de 10.000 franc burundais.
Quatre jours après la restriction des vols de Kenya Airways, les conséquences se font déjà sentir à la SOBUGEA
La SOBUGEA enregistre journalièrement une perte de plus de 2.000 dollars américains depuis que la compagnie Kenya Airways a décidé de réduire sensiblement ses vols sur Bujumbura. Une situation qui plonge de plus en plus les travailleurs de cette entreprise, d’autant plus que les conséquences de ce manque à gagner commencent déjà à se répercuter sur eux.
La Compagnie aérienne Kenya Airways vient de réduire le nombre de vols à destination de Bujumbura. Cette compagnie effectuait au moins 3 vols par jour sur Bujumbura. Depuis ce Lundi, 2 vols ont été supprimés pour n’en rester qu’avec un seul. Le motif de l’annulation de ces vols serait lié aux problèmes que connait actuellement l’entreprise SOBUGEA qui œuvre à l’aéroport international de Bujumbura. Si rien n’est fait dans l’immédiat, le personnel de ladite entreprise prévient que des pertes financières pourraient s’alourdir au cas où d’autres Compagnies emboiteraient éventuellement le pas à Kenya Airways.
Le gouvernement burundais ne soigne pas ses militaires en mission de maintien de la paix
Le contingent burundais de l’AMISOM manque de médicaments nécessaires pour les soins des troupes. Certaines des victimes sont obligées des fois de payer de leur poche les soins de santé, les réactifs et autres matériels pour les examens. Comme conséquences, des complications ont été déjà signalées. Et cela date de l’année 2016 lorsque l’UNUSOA a remis à l’état du Burundi la tâche de soigner ses troupes en mission de maintien de la paix.
Un contrôle de payement de la taxe municipale pour les propriétaires du petit commerce a été effectué ce lundi matin dans le quartier Bwiza de la Mairie de Bujumbura. Certains commerçants de ce quartier déplorent l’attitude et le comportement des agents de la Mairie dans ce contrôle. Ils demandent que prochainement ce contrôle soit bien préparé pour éviter l’usage de la force
Vers la réunification forcée de l’église vivante
Le Ministère de l'intérieur a pris une décision de limoger les représentants légaux de l'église Vivante. Il a aussi ordonné à la représentation suppléante de cette église d'organiser une assemblée générale pour élire les nouveaux organes dirigeants de cette église pour qu'ils trouvent solution au conflit qui mine l’église. Certains adeptes rejettent la décision ainsi que les arguments avancés par le ministère.
Grognes et lamentations chez les militaires du 421ème bataillon de Karusi qui viennent de passer plus d’une année dans la réserve naturelle de la Rukoko. Ces militaires chargent surtout leur commandant bataillon qui, non seulement les persécutent et malmènent, mais aussi détournent leurs biens. Ils en arrivent au stade où ils ne sont même pas approvisionnés en eau potable. Lesdits militaires demandent au chef d’Etat-major de l’Armée de substituer ce cadre avant que le pire ne se produise.