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Etat de la sécurité dans la région ouest selon le Commissaire de police, Bertin Gahungu
La police dément la présence d’hommes armés et habillés de manteaux qui perturbent la sécurité la nuit en particulier dans la province de Bujumbura. C’est l’un des points abordés dans une réunion de sécurité publique de ce jeudi présidée par le ministre de la sécurité publique. Cette rencontre se tenait ce jeudi à Buhonga, commune Kanyosha, à huis-clos. Dans son rapport, Bertin Gahungu, commissaire de police chargé de la région ouest, a indiqué qu’en général la sécurité est stable dans la région ouest mais qu’il ne pouvait pas manquer quelques incidents. Il a cité parmi les causes de ces incidents notamment la récente liberté conditionnelle des prisonniers, les voleurs qui purulent à l’approche des fêtes du Nouvel an, les rumeurs qui circulent sur internet, les radios, les prédications des hommes des églises. Le Commissaire Bertin Gahungu informe qu’un groupe de voleurs armés a été démantelé ces derniers temps et ainsi que des bandits qui se cachent parmi les bergers dans la réserve de Rukoko. C’est pourquoi les vaches sont en train d’être retirées de cette réserve, indique le Commissaire Bertin Gahungu. Les étrangers sont aussi parmi ceux qui perturbent la sécurité et certains ont été expulsés, ajoute-t-il. Le commissaire Bertin Gahungu dément l’existence des hommes en manteaux mais parle plutôt de simples voleurs avant de faire sortir la presse.
Et à la sortie de cette réunion, le ministre de la Sécurité publique, Gabriel Nizigama, a indiqué que la sécurité est en générale bonne dans la région ouest. Mais il signale l’existence des groupes de voleurs armés et nie l’existence des hommes en manteaux. Le ministre de la Sécurité publique dit avoir mis hors d’état de nuire des groupes de voleurs armés dans la commune Kinindo et aussi ceux de la province Bubanza. Il accuse en outre les journalistes d’imposer à la population ce qu’elle va dire en rapport avec leur sécurité et ainsi ces journalistes exagèrent dans la diffusion de leurs informations, a-t-il ajouté.
Une autre victime des hommes armés en commune urbaine de Kanyosha
Une personne a été blessée à la machette par un groupe d’hommes armés qui l’ont trouvée à son domicile en commune Kanyosha, quartier Musama III la nuit de ce lundi. L’administrateur de la commune Kanyosha affirme que la police est à la recherche des malfaiteurs mais ajoute qu’en général, la sécurité dans la commune Kanyosha est stable.
Comme le dit Nishemezwe Jonas qui a échappé à la mort la nuit de ce lundi, c’est vers 2h du matin qu’il a vu chez lui au quartier Musama III, un groupe de 3 hommes armés qui lui allumaient des torches en pleine figure et lui demandaient de l’argent. Jonas dit que l’un des malfaiteurs montait la garde dehors tandis que les 2 autres lui volaient ses habits et son argent. Il rajoute que c’est en voulant les identifier qu’ils ont commencé à le découper à la machette. L’administrateur de la commune Kanyosha confirme cette information.
L’administrateur de la commune Kanyosha ajoute qu’en général, la sécurité est stable dans la dite commune et qu’ils fassent tout leur possible pour garder cette stabilité. Signalons que Jonas Nishemezwe reçoit actuellement des soins médicaux au centre de santé Rukundo de la commune Kanyosha.
Les hommes en manteaux attaquent deux commerçants en commune Rohero
Trois personnes ont été attaquées par un groupe de gens armés se déplaçant à motos. Deux des victimes ont été
Insécurité toujours dans la commune Musaga
Une personne a été tuée la nuit de ce samedi au quartier Kamesa de la commune Musaga. Les habitants de ce quartier soupçonnent que la victime était un voleur car elle venait d’être emprisonnée accusé de vol deux fois de suite.
A côté du corps sans vie de ce présumé voleur, une machette, un marteau et un gourdin. Ce seraient selon les témoins les armes des envahisseurs. La sentinelle de la maison attaquée dit qu’ils étaient au nombre de 3.
Les présumés bandits auraient commencé par un geste peu habituel pour les bandits, brûler le véhicule qui se trouve à l’intérieur, témoigne le patron de la famille attaquée. Le dit véhicule n’aurait pas brûlé directement. Selon toujours le chef de ménage, ce n’est pas la première fois que cette famille est attaquée par le même groupe. Interrogé, l’administrateur de la commune Musaga dit que les enquêtes ont déjà commencé.
Les habitants de la commune urbaine de Kinindo sont inquiets face à l’insécurité qui règne dans cette commune. Des inquiétudes que ces habitants ont exprimées lors d’une réunion de sécurité tenue hier jeudi. Cette réunion était organisée par l’administrateur de la commune. Toutefois, ceux qui ont participé à cette réunion devraient avoir une invitation. Ce qui a frustré plus d’un chez les habitants de cette commune.
Ces habitants de la commune Kinindo ont demandé à leurs autorités de leur préciser qui est leur véritable ennemi. Un autre intervenant dit que l’ennemi en soi, les chancelleries occidentales le connaissent déjà en témoigne les avertissements en l’encontre de leurs ressortissants. D’après l’administrateur de Kinindo, Christine Inakanyana, tout cela n’est que rumeur. Ceux qui ont participé à cette réunion de sécurité avaient obtenu une invitation de la part de leurs chefs de quartiers. Plus d’un n’ont même pas su que cette réunion a eu lieu. Vous saurez que lors de la réunion de sécurité du 30 octobre dernier, l’administrateur de la commune Kinindo avait reconnu que la sécurité n’était pas du tout bonne.
Nouvelle attaque des malfaiteurs dans le quartier Gisyo
4 habitations dont deux encore en chantier ont été attaquées hier soir jeudi par des hommes armés de machettes et de fusils au quartier Gisyo en commune Kanyosha. Bilan : 3 blessés dont 1 grièvement. Le chef de quartier, Joseph Hakizimana confirme cette attaque. Les habitants de ce quartier s’inquiètent toutefois, cette recrudescence des cas d’insécurité.
Un des jeunes hommes attaqués dans la nuit de ce jeudi à Gisyo témoigne qu’il s’est vu encerclé par des bandits armés qui lui ont demandé de l’argent. Sur son lit d’hôpital, ce jeune homme a des blessures sur la tête, le dos et sur les doigts. Les habitants de Gisyo s’inquiètent de cette recrudescence de l’insécurité car ils ne sont pas à leur première attaque. Ils réclament de ce fait le renforcement de leur sécurité et demandent une position policière dans ce quartier car les malfaiteurs parviennent toujours à s’enfuir vers le littoral du lac Tanganyika.
La population de Musaga et Kanyosha toujours en alerte
Peur panique au sein des habitants des quartiers Gikoto et Gasekebuye de la commune urbaine de Musaga. Des groupes armés et vêtus de longs manteaux sont signalés dans ces localités. Ils pillent et malmènent la population. L’administrateur de Musaga reconnait avoir entendu ces informations mais précise qu’aucune preuve n’a été jusqu’ici présentée.
Et plus au sud, panique et suspicion au sein des habitants de Kavumu, commune Kanyosha de la province Bujumbura. Ce mercredi soir, ils ont aperçu 3 individus inconnus de cette localité qui essaie de se camoufler. L’un d’eux a été capturé par la population. Le plus inquiétant, pour ces habitants, est que cet individu avait un bouchon et qu’il affirmait qu’il était en possession d’un bidon plein d’acide. Le responsable administratif à la base affirme ces informations. Au niveau de la police, l’on indique que l’on a déjà transmis l’affaire devant le parquet.
Les menaces pèsent sur ceux qui ont dénoncé la distribution des armes à feu au campus Kiriri
Il y a du flou dans l’affaire Etienne Ndayishimiye. C’est ce veilleur de nuit appréhendé en possession d’une arme à feu au campus Kiriri. Mais certains étudiants de ce campus nient que ce veilleur possédait une arme à feu. D’autres étudiants affirment cependant
Les ressortissants étrangers peuvent être rassurés de leur sécurité ?
Le ministère des Relations extérieures regrette la position prise par l’ambassade des Etats-Unis et le gouvernement belge en déconseillant leurs ressortissants de se rendre au Burundi et en limitant leurs déplacements. Selon un communiqué de presse du ministère, cela vise à présenter le Burundi comme un pays en proie à l’insécurité et peut décourager les investisseurs et les touristes. Le gouvernement burundais est déterminé à assurer la sécurité des biens et des personnes et met tout en œuvre pour étouffer dans l’œuf ce que le communiqué qualifie de « phénomène des bandits récurrents chaque fois que les élections approchent » peut-on lire dans ce communiqué.
Le ministère des Relations extérieures ajoute que la sécurité est globalement bonne et que les forces de sécurité, l’administration et la population n’accordent aucun répit à ces bandits. Cette réaction du ministère des Relations extérieures est consécutive aux notes de sécurité adressées aux voyageurs d’origine belge et américains qui veulent se rendre au Burundi.
A ce sujet également, l’ambassade de Belgique au Burundi dans un communiqué sorti ce mardi, tient à préciser que la Belgique ne déconseille pas aux belges de visiter le Burundi ou de limiter les voyages à des visites essentielles mais déconseille seulement les visites dans la réserve naturelle de la Rukoko.
La police et l’administration territoriale sur une piste des terroristes au Burundi
La présence des groupes terroristes au Burundi est une triste réalité, c’est l’affirmation du ministre de l’Intérieur hier lundi. Une affirmation qui vient confirmée la déclaration du porte-parole de la police burundaise. C’était dans une conférence de presse la semaine dernière. Mais les Burundais s’interrogent sur quelles mesures de sécurité à prendre.
Dans une réunion du ministre de l’Intérieur, Edouard Nduwimana, avec les gouverneurs de province ainsi que les responsables des différentes églises ce lundi, il a tenu à souligner une présence des groupes terroristes ici au Burundi : « Nous avons de sérieux indices qui affirment la présence des groupes terroristes ici au Burundi. Vous avez entendu dans ces derniers jours qu’il y a même ceux qui ont été arrêté, on pensait au paravent qu’aucun burundais ne pouvait participait à des groupes terroristes de ce genre mais nous avons constaté le contraire. C’est évident qu’ils ont commencé à préparer le terrain. L’exemple typique est celui de Kanyosha où il y a une maison dans laquelle des enfants sont enfermés et suivent des cours. C’est visible qu’il y a des préparatifs, c’est pour cela qu’il faut nous lever comme un seul homme pour faire face à ce phénomène. » Jeudi de la semaine passée, dans une conférence de presse, la police burundaise avait annoncé qu’il y a des burundais qui sont en contact avec les réseaux suspects d’endoctrinement terroriste déjà identifiés et les suspects sont arrêtés pour subir des interrogatoires.