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La Ligue des droits de l’homme Iteka s’inquiète de l’implication des jeunes Imbonerakure dans la mise en application de la décision du gouverneur de Kirundo d’empêcher les gens de fuir par la fermeture des frontières. Pour la Ligue Iteka, cela est d’autant plus inquiétant de voir ces imbonerakure exécuter cette décision alors que ce sont eux qui sont accusés d’être à l’origine de ces départs en faisant faire peur à la population.
Et en province Rutana, des habitants de la zone Kiguhu commune Mpinga-Kayove affirment être terrifiés depuis quelques temps suite aux rondes nocturnes effectuées par des jeunes Imbonerakure. La population indique que cinq familles ont déjà fui vers la Tanzanie. L’administrateur de la commune Mpimga-Kayove tranquillise la population et leur demande de rester sereine.
Des habitants de la ville de Bujumbura ont répondu à l’appel des organisations de la société civile engagées dans la campagne « Halte au troisième mandat ». L’appel visait à klaxonner ou à faire du bruit autrement pour s’opposer à une troisième candidature du président Nkurunziza.
Très active, les organisations de la société civile membres de la campagne « Halte au troisième mandat » viennent de lancer un cri d’alarme sur la situation sociopolitique explosive au Burundi. Ce cri d’alarme vient d’être adressé au numéro un Burundais à travers une correspondance dans laquelle la société civile lui demande de ne pas espérer un troisième mandat et dans le cas contraire d’assumer personnellement les responsabilités des conséquences de la gestion de cette situation explosive.
Le gouvernement et les organisations de la société civile engagées dans la campagne contre la vie chère au Burundi se sont convenus à un délai d’un mois pour trouver solutions aux doléances présentées par ces organisations. D’où l’annulation de la manifestation qui était prévue cet avant-midi et la suspension du préavis de grève générale lancé ce mercredi. Déclaration de Gabriel Rufyiri au nom de 1300 organisations de la campagne contre la vie chère au Burundi. Ces organisations menacent le gouvernement de reprendre leurs actions si ce dernier n’honore pas ses engagements surtout en ce qui concerne la disponibilité immédiate du carburant.
Le carburant toujours pas disponible sur toutes les stations services de la capitale. La situation est ainsi alors que la ministre du Commerce avait promis aux Burundais que l’essence sera de nouveau servi normalement depuis hier jeudi.
Les habitants de la capitale Bujumbura appelés à répondre ce vendredi à la manifestation pacifique de la campagne contre la vie chère. Les 1300 organisations réunies au sein de cette campagne expliquent que c’est pour attester leur colère pour n’avoir pas reçu de réponses à leurs doléances, indique Gabriel Rufyiri qui a parlé au nom des 1300 organisations.
Parallèlement à cette manifestation, ces organisations ont sorti un préavis pour une deuxième grève générale. A côté de faire de la pression pour que leurs revendications liées à la vie chère au Burundi soient entendues, ecs organisations plaident pour leurs camarades aujourd’hui sous menaces pour avoir répondu à la grève générale observée le 5 de ce mois de mars, précise Célestin Nsavyimana, vice président de la COSYBU.
En outre, l’Association des Consommateurs « ABUCO » annonce pour sa part qu’elle se retire de la Commission permanente chargée des produits pétroliers. Ella Ndikumana, représentante de l’ABUCO explique que cette organisation qui défend la cause des consommateurs n’est jamais associée aux activités de cette commission d’où son retrait.
Ces 1300 organisations réclament l’annulation de la taxe de 42 Fbu par minute prélevée sur chaque appel interne, la fixation du prix de l’essence à 1700 Fbu par litre, la disponibilisation de l’essence en pénurie depuis 2 semaines, la justification par l’Etat des frais prélevés pour constituer des stocks stratégiques ainsi que l’arrêt des persécutions contre ceux qui ont répondu à la grève du 5 mars.
De l’autre côté, le Syndicat Général des Commerçants « SYGECO » demande au président de l’Assemblée nationale de renvoyer le projet de loi portant réforme de la fiscalité communale. Cela a été déclaré par Audace Bizabishaka, président de SYGECO dans une conférence de presse de ce mercredi. Il ajoute que si ce projet de loi serait adopté ce serait une imposition alors que les contribuables qui sont la population paysanne devraient être sensibilisées et consultées.
La société civile nationale et internationale contre le troisième mandat du président Nkurunziza
Le fait que les manifestations organisées par le gouvernement soient closes par des discours de diffamation sur certaines personnes et radios privées, lesquels discours sont soutenus par le ministre de l’Intérieur, montrent que le pouvoir de Bujumbura est inquiet de la médiatisation des fautes qu’il commet susceptible d’entrainer un déficit du vote électoral à son passif. Déclaration faite par Janvier Bigirimana, secrétaire général du FOCODE dans une conférence de presse. L’association FOCODE, demande à la hiérarchie du ministère du ministre de l’intérieur de le conseiller et de le ramener dans le droit chemin. Le ministre de l’Intérieur ayant montré qu’il ne va rien changer dans ses relations avec la société civile et les médias, constate Maître Janvier Bigirimana. Pour ceux qui se demandent si cette démarche peut décourager les militants contre le troisième mandat du chef de l’Etat, l’association FOCODE et son président diffamé singulièrement dans ces manifestations annoncent que ce combat ne sera jamais étouffé et prendra une voie légale et pacifique.
L’organisation de la société civile EURAC demande une vigilance de l’Union Européenne plus que nécessaire à trois mois de la tenue des élections législatives et locales au Burundi. EURAC demande au gouvernement du Burundi d’accepter des enquêtes internationales sur l’assassinat des trois religieuses italiennes de Kamenge ainsi que sur les cas d’exécution sommaire des combattants qui se seraient rendu aux forces de l’ordre en province de Cibitoke en décembre 2014.
Le président de la République, Pierre Nkurunziza, demande aux organisations de la société civile et confédérations syndicales de surseoir au mouvement de grève général prévu pour ce jeudi. Léonidas Hatungimana, porte-parole du président dit que certains membres du gouvernement sont en train d’échanger avec les opérateurs de la téléphonie mobile et qu’une solution sera annoncée ultérieurement, a annoncé Léonidas Hatungimana, porte-parole du président.
Plus de 1500 organisations féminines déclarent qu’elles se joindront aux autres organisations de la société pour manifester au cas où le président Nkurunziza briguerait un troisième mandat. Dans une conférence de presse de ce vendredi, ces organisations regroupées au sein de CAFOB, Dushirehamwe, Réseau Femmes et Paix, AFRABU et SPPDF demandent au président de la République de sortir de son silence, a dit Soline Rubuka, présidente du CAFOB.
Ces organisations féminines de la société civile trouvent illégale le troisième mandat du président Nkurunziza, renchérit Bernardine Sindakira, déléguée général de la SPPDF.
La société civile appelle à manifester contre le troisième mandat du président Nkurunziza
Les associations de la société civile engage dans la lute contre le troisième mandate du président Nkurunziza appelle la population à manifester pacifiquement au cas où son parti CNDD-FDD le présenterait comme candidat aux élections de 2015. Déclaration faite par Vital Nshimirimana, président du Forum pour le Renforcement de la Société Civile « FORSC ». Et en cas d’affrontements entre les organisations qui soutiennent le troisième mandat et celles qui sont contre, l’Etat garant de la sécurité endossera les responsabilités. Pacifique Nininahazwe, président du FOCODE, membre du FORSC, de son côté, appelle donc les parrains des accords d’Arusha et d’autres sages à intervenir pour éviter le bain de sang au Burundi.
Et pour Audifax Ndabitoreye, ancien des services de renseignements burundais, le limogeage du chef du service secret n’est pas forcément lié à la note de renseignement sur les risques en cas du troisième mandat du président Nkurunziza. Toutefois, il précise que si jamais le président de la République a limogé le Général Niyombare suite au contenu de la note, le Burundi doit s’attendre au pire.
En outre, le président de la République, Pierre Nkurunziza, se met à destituer ces derniers jours certains cadres de l’Etat y compris l’administrateur directeur général des renseignements et l’ancien sénateur Richard Nimbesha du CNDD-FDD limogé à la CNTB. Des sources en provenance du parti CNDD-FDD indiquent que ceux qui sont destitués sont ceux qui ne soutiennent pas la troisième candidature de Pierre Nkurunziza.
Les partenaires aux élections de 2015 continuent à encourager le dialogue et la transparence
Le président du Conseil de surveillance au sein de la Coalition de la Société Civile pour le Monitoring des Elections, COSOME en sigle, se dit satisfait des conclusions de l’atelier d’évaluation du processus d’enrôlement des électeurs qui s’est tenu hier lundi. Pour Haruna Nkunduwiga, il faut que de telles réunions entre les parties prenantes aux élections soient multipliées pour écouter les avis des uns et des autres afin de déboucher à des élections transparentes.
En outre, les Etats-Unis d’Amérique conseillent au gouvernement burundais et aux acteurs politiques d’organiser des élections libres, transparentes et apaisées. Ce sont les propos de l’Ambassadrice des Etats-Unis au Burundi. Dawn Libery l’a déclaré ce mardi matin lors de la remise la Commission électorale CENI de panneaux de sensibilisation sur les échéances électorales de 2015.
Les proches de Pacifique Nininahazwe en danger
La sécurité des membres de la famille du président du Forum pour la Conscience et le Développement, Pacifique Nininahazwe est menacée. C’est l’affirmation du secrétaire général du FOCODE, Maitre Janvier Bigirimana, dans un point de presse animé ce mardi. Selon lui,