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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Commémoration ce mercredi 9 septembre 2015 du 19èmeanniversaire de l'assassinat de feu Monseigneur Joachim RUHUNA, ex-Archevêque de GITEGA. Le procès relatif à cet assassinat semble jeté dans les oublis.

Plus de 1000 caféiculteurs ont dénoncé l’injustice exercée par certains collecteurs du café sur le prix d’achat d’un kilogramme du café cerise. Ils réclament aujourd’hui leur argent. Actuellement, ils se heurtent aux problèmes socio économiques alors qu’ils ont vendu leur café cerise à la société BUGESTAL.  

« La plante STEVIA est cultivée dans la province GITEGA sur vingt-deux champs qui totalisent environ 10 hectares » déclareApollinaireNAHIMANA qui supervise la culture de cette plante à GITEGA.

Ce commerce échappe au contrôle de l’administration locale. Les consommateurs ne se soucient de rien au moment où les fabricants et les commerçants se contentent d’affaires commerciales. Les autorités chargées du commerce au nord du pays assistent impuissamment à la vente de ces produits jugés toxiques.

En province Gitega, les batwas de la localité de Zege, commune Gitega se plaignent du non assistance de la part de leurs représentants au niveau national et de l'ingérence des autres personnes non Batwa dans leurs associations. 

« Nibereye kwi ligala! » ou « je fais le suave ».C’est le terme utilisé actuellement par certains désœuvrés et chômeurs rencontrés dans la ville de Ngozi. Pour les chômeurs qui pour la plupart d’entre eux passent leur temps à des jeux de hasard comme le traditionnel « urubugu », ils ont adopté le terme « nteramiye k’urubugu/urusoro », en guise de salutation.

« Comment payer le loyer quand on est au chômage ? C’est impossible !» C’est la réponse qui nous est donnée par différents locataires de maisons de la ville de Bujumbura lorsqu’on vient s’enquérir de la situation des loyers.

Selon la police et les veilleurs de nuit du marché central de GITEGA, le feu qui a ravagé cette partie du marché a éclaté vers minuit. Il aurait pris sa source dans un des kiosques servant de restaurants, situés dans ce marché.

La population démunie résidant dans le site Kabusonga, secteur Camakonbe en commune Mugina mène une vie de misère sans équivoque. A part le manque criant d’eau potable et de lieux d’aisance qui les hantent, ces rescapés de l’éboulement sont aussi victimes des maladies des mains sales.

 

« Voilà bientôt deux ans que nous n’avons pas de latrines dans notre site » : se plaint Antoine Maniragaba, rescapé de l’éboulement de la montagne de Gitumba. Ce sexagénaire, père de 4 enfants se dit choqué du fait que jusqu’aujourd’hui le site de Kabusonga n’a pas encore bénéficié d’eau potable et de latrines. « Depuis notre arrivée dans ce site, les conditions de vie ne cessent de s’aggraver » poursuit-il. Actuellement, ce site héberge environ 900 personnes reparties dans 126 ménages, vivant dans des conditions très précaires.

Au  manque de l’eau potable, poursuit ce chef de famille, s’y ajoute aussi le paludisme et les maladies des mains sales qui, dans la plupart des fois, sont à l’origine des décès depuis la création de ce site. « Tout ce monde se soulage dans les forêts ou dans les toilettes des voisins », a-t-il martelé. De plus, affirme t-il ; « cette situation engendre actuellement un conflit entre les propriétaires de ces latrines et des rescapés car on se sert gratuitement de leurs latrines alors que même au marché, cette action est payant ».

Mariam Ntirandekura est la voisine de ces rescapés. Elle indique avoir vidé deux toilettes à cause des ces rescapés qui fréquentent incessamment et gratuitement sa latrine. Pour elle : «  si l’administration ne construit pas les latrines pour ces rescapés, je vous assure que bientôt, je vais fermer la mienne ».

Un site à la portée des maladies des mains sales.

Les infirmières qui travaillent au chef-lieu de la commune Mugina indiquent que des maladies des mains sales sont apparus dans le site : « C’est entre autre le choléra et la typhoïde ». Les rescapés précisent : « Plus de 60 % des rescapés sont victimes des maladies des mains sales dans le site de Kabusonga » indique Melchior Ndaruzanye, résidant dudit site. Selon Nestor Kubwayo, le site ne dispose même pas d’une structure sanitaire dans ses environs. L’administration communale se dit préoccupée par cette question. Elle affirme s’entretenir avec des bienfaiteurs pour aider dans le déménagement de ces rescapés vers un endroit bien aménagé.

Les nouveaux comme les anciens quartiers de la ville de Ngozi sont caractérisés par les déchets de toutes sortes. Plus de 60% des ménages n’ont ni dépotoirs ni espaces suffisant pour le traitement des ordures. Certains habitants de Ngozi jettent les ordures dans des caniveaux, d’autres les abandonnent ici et là ; source d’inquiétudes  et la cause des maladies indiquent les responsables de l’hygiène.

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