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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Les prisonniers détenus à  Bubanza sont menacés par la faim. Ils viennent de passer plus de deux semaines avec des haricots comme seule nourriture. Les prisonniers ayant des maladies incurables et les femmes prisonnières qui allaitent sont les plus menacées par la faim. A l’origine, c’est la décision des fournisseurs de cesser leur approvisionnement suite aux factures impayées.

Depuis deux mois, une répression contre les supposés opposants au troisième mandat du Président Nkurunziza s’est accélérée dans les provinces de Ngozi et Kayanza. Quatre personnes ont été exécutées et une trentaine incarcérées dans différents cachots de la province Ngozi rien que pour le weekend dernier. Dans chacune de ces opérations, des jeunes ‘’Imbonerakure’’ affiliés au parti au pouvoir sont très actifs pour désigner les personnes à arrêter et les passer à tabac.
Des experts en droits de l’homme envoyés par l’ONU devaient entamer des enquêtes au Burundi à partir du 25 janvier 2016 sur les allégations de graves violations des droits de l’homme. Mais le gouvernement n’a pas encore donné suite à leurs demandes de visas. L’Office du Haut-Commissariat aux droits de l’homme déplore ce retard et demande au gouvernement de débloquer la situation. 
 

La Tanzanie mène depuis le début de l’année 2016 une chasse contre les sans-papiers sur son sol. Les burundais sont parmi les personnes visées car irréguliers et sans papiers les autorisant de travailler dans le pays de John Pombe Magufuli.

Dans une déclaration vendredi 15 janvier 2016, le Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU a mis en garde contre l’existence de nouvelles tendances qui émergent au Burundi comme les violences sexuelles commises par les membres des services de sécurité, les tortures ainsi que les disparitions forcées. Zeid Ra’ad Al Hussein évoque aussi l’existence de neuf charniers où se trouveraient les victimes des massacres du 11 décembre dernier.

SOS-Torture Burundi, une organisation qui regroupe les défenseurs des droits de l’homme burundais, est née pour dénoncer les violations commises par le pouvoir de Bujumbura à l’endroit des personnes opposées ou non au troisième mandat du Président Pierre Nkurunziza. L’objectif étant de mettre un terme aux exactions commises en mettant à jour leurs auteurs.

Ce nouveau né enlevé est un garçon. Il a vu le jour par césarienne il y a deux semaines à l’hôpital de Cankuzo. Des sources à Cankuzo font savoir qu’il a été kidnappé la nuit de samedi 9 janvier 2016 lorsque sa mère Marie Nshimirimana et Julie Singurye sa garde s’étaient endormies.

Christa Bénigne Irakoze présidente de la Ligue des femmes du Parti d’opposition SAHWANYA Frodebu dans la Province Bujumbura est portée disparue depuis le 29 décembre 2015. Cette responsable politique a été enlevée par un officier de l’armée mais sa famille est sans nouvelles depuis. Elle craint que Mme Irakoze n’ait été exécutée.  

Les organisations des professionnels des médias continuent d’afficher leurs inquiétudes quant à l’emprisonnement de notre confrère technicien de la RPA Egide Mwemero qui se trouve emprisonné en RDC depuis le 13 octobre 2015. Elles craignent que les autorités congolaises ne renvoient Mwemero au Burundi contre son gré.

Bujumbura célèbre la journée internationale des droits de l’homme sous le thème "20 ans pour vos droits au Burundi". Cette célébration coincide avec les 20 ans d'existence du bureau des Nations Unies pour les droits de l'homme au Burundi. Cette journée est également célébrée au moment où ces droits sont fortement bafoués au Burundi, en commençant par le droit à la vie.

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