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“La voix des sans voix”

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Toutes personnes qui ont klaxonné ce jeudi pour protester contre le troisième mandat du président Pierre Nkurunziza devront payer une amende de 10.000 Fbu. C’est du moins s’il l’on croit les propos du porte-parole de la police. L’OPC1 Liboire Bakundukize ajoute également que les klaxons ne servent qu’à prévenir contre les accidents, tel qui cela est prévu par le code de la route. Cet officier de police précise que les Burundais ont le droit de manifester leur mécontentement sans toutefois enfreindre les autres lois en vigueur. Le porte-parole de la police s’est refusé de tout commentaire au sujet des voitures teintées que la police a réquisitionné ce jeudi.       

En réaction, les membres de la campagne « Halte au troisième mandat » du président Nkurunziza s’insurgent contre le comportement de la police qui a commencé à arrêter certains véhicules qui auraient klaxonné ce jeudi à 12h20. Selon Vital Nshimirimana, délégué général du FORSC, ce comportement de la police est un acte d’intimidation qu’il faut bannir dans un état démocratique.

Une mère du nom d’Espérance Habonimana demande à toute personne animée de bonne foi de lui venir en aide pour sauver son enfant qui s’est cassé le bras lors d’un accident de roulage. Des douleurs atroces lui menacent énormément et les soins de santé  nécessaires s’évaluent à 500.000 Fbu. Qui voudra lui venir en aide peut appeler monsieur Daniel Harerimana aux 79874424 ou au 75874424.      

Le domicile du président de l’Action Catholique pour l’Abolition de la Torture « ACAT », Armel Niyongere, était entouré de policiers très

1077 femmes ont subi des violences de tout genre depuis janvier 2014 jusqu’aujourd’hui dans la province de Ruyigi. Ces femmes se plaignent que les auteurs de ces forfaits ne sont pas punis et demandent à l’administration de tenir leur question en main. Cette dernière les appelle à participer aux élections surtout en se faisant élire pour suivre de près leurs questions.          

 Le prisonnier Hilaire Ndayizamba est victime d’injustice de la part du ministre de la Justice. La Ligue Iteka affirme avoir fait des investigations sur

 

Le cas du détenu Hilaire Ndayizamba est entre les

Le gouvernement a choisi de ne pas tenir compte de certaines des conclusions des consultations nationales de 2009 lors de la mise en place de la Commission Vérité Réconciliation. Voilà l’une des observations préliminaires de l’expert des droits de l’homme des Nations Unies, Pablo De Greiff, qui cite notamment l’ignorance des points importants dans la sélection des commissaires, l’absence de participation de la société civile et des ressortissants étrangers à certains niveaux de la commission. Toutefois, Pablo De Greiff a dit espérer que les décisions ultérieures de la commission essaieront de gagner la confiance en intégrant l’expertise des organisations de la société civile. L’expert des Nations-Unies espèrent également que la CVR va travailler en toute indépendance sans considération de l’identité ethnique et l’affiliation politique du plaignant.

Pablo De Greiff s’est exprimé au cours d’une conférence de presse de ce mardi où il présentait les conclusions et observations préliminaires sur la promotion de la vérité, la justice, la réparation et les garanties de non répétitions au Burundi. Il présentera le rapport complet à Genève l’année prochaine.

 

« Il était temps que les défenseurs des droits humains se réunissent avec leurs pairs de la sous région pour voir comment promouvoir la protection des défenseurs des droits de l’homme et des peuples au Burundi. » Propos de Frère Emmanuel Ntakarutimana, président de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme, c’était au cours d’un forum pour promouvoir le travail des défenseurs des droits de l’homme. Ce Forum devrait permettre d’outiller les défenseurs des droits humains pour se créer un environnement de travail adéquat, explique Frère Emmanuel Ntakarutimana

Vous saurez que ce forum est organisé à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits de l’homme du 10 décembre de chaque année.

Le Comité des Nations-Unies pour les droits de l’homme vient de sortir un rapport qui

Hilaire Ndayizamba accuse le ministre de la Justice, Pascal Barandagiye, d’être un frein à sa vie et à sa santé. Dans une lettre adressée à ce mandataire public, Hilaire Ndayizamba explique que le ministre de la Justice l’a toujours rayé sur la liste des prisonniers bénéficiaires des mesures de grâce présidentielle parce qu’atteints des maladies incurables et chroniques depuis 2010. Dans cette correspondance, Hilaire Ndayizamba fait un réquisitoire contre le ministre de la Justice disant qu’il viole de manière flagrante la loi.

Dans cette correspondance du 21 novembre 2014 du détenu Hilaire Ndayizamba, dont l’objet est le recours pour protester la manière dont il est rayé sur la liste pour la quatrième fois et cela de façon discriminatoire pour mettre en application la mesure présidentielle faite pour gracier les prisonniers en 2010, 2012 et 2014 et la grâce ministérielle par l’ordonnance numéro 550/782 du 2014 en son article 138. En gros dans cette lettre au ministère, Hilaire Ndayizamba emprisonné suite à l’assassinat d’Ernest Manirumva revient sur différents rapports des commissions médicales qui démontreraient combien Hilaire Ndayizamba était atteint de maladies chroniques et incurables. Hilaire Ndayizamba rappelle également au ministère de la Justice, les demandes lui adressées par le CNIDH et l’ACAT qui n’ont jamais été mises en application malgré le dépôt des correspondances écrites par ces deux institutions.

Hilaire Ndayizamba dit au ministère de la Justice que des prisonniers dans le même cas que lui ont été libérés et lui, paradoxalement a été rayé sur la liste. Ce sexagénaire vient de passer plus de cinq ans en prison atteint de diabète et de pathologie cardiaque. Aussi demande-t-il au ministre dans cette lettre lui adressée, je cite : « Monsieur le ministre, qu’est-ce qui explique votre refus de me libérer si ce n’est qu’un esprit de torture morale, physique et psychologique à mon égard ? »   

Hilaire Ndayizamba se base sur des rapports donnés par différentes commissions médicales sur sa santé, sur diverses dispositions légales, constitutionnelles et pénitentiaires ainsi que d’autres lois concernant des prisonniers âgés et atteints de maladies incurables. Hilaire Ndayizamba accuse le ministre Pascal Barandagiye d’avoir violé toutes ces dispositions et d’afficher une volonté de le maintenir en prison. Ndayizamba termine sa lettre en s’adressant au Magistrat suprême qui est Chef de l’Etat et garant de la Constitution de lui rendre justice dans cette affaire.   

La RPA a cherché à joindre le ministre de la justice, Pascal Barandagiye, pour qu’il donne des éclaircissements sur cette affaire. Hélas, nous n’avons pas pu le joindre. Hilaire Ndayizamba totalise neuf jours au chevet à l’hôpital La Colombe, sise à Rohero à cause de ses pathologies diabétiques et cardiaque.

 

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