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Au sommaire de la déclaration, la MENUB brosse d’ abord le tableau de la crise politique et socio-économique dans laquelle a plongé le pays après la décision du Président Pierre NKURUNZIZA de briguer un troisième mandat. A la lumière des différentes observations, la MENUB conclue que le jour du scrutin « l’environnement général n’était pas du tout propice au déroulement d’un processus électorale libre, crédible et inclusif ».
Une équipe d'experts militaires et des droits humains de l'Union Africaine, prévue par une résolution du conseil de paix et de sécurité de l'UA sur le Burundi, est arrivée au Burundi ce mardi 28 Juillet 2015.
Agathon Rwasa ou le dernier sprint raté devant l’Histoire
La présence d’Agathon Rwasa parmi les premiers à s’être présenté dans l’hémicycle burundais a étonné plus d’un parmi les observateurs. Mais à considérer le comportement de l’ancien seigneur de la guerre depuis son retour en 2010, rien d’étonnant qu’il adopte aujourd’hui le profil bas.
L’OLUCOME conteste à son tour les élections organisées par la CENI et le gouvernement burundais.
Dans un point de presse animé ce mardi matin par le président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques ; cette association de la Société civile burundaise conteste les élections qui se sont tenues au Burundi depuis Juin 2015.
L’Assemblée Nationale nouvellement élue ouvre ses travaux en présence d’Agathon Rwasa
Prévue à 9h du matin, cette séance extraordinaire de la nouvelle Assemblée Nationale élue a commencé à 11h10. La première séance a été présidée par la députée la plus âgée de tous : Immaculée NAHAYO. L’élue de Kayanza a retrouvé le perchoir près de 10 ans après son éviction. Les nouveaux députés sont arrivés à compte goutes mais visiblement gênés de se retrouver au Palais des Congrès de Kigobe.
Le parti Socialiste juge peu crédible le scrutin au Burundi et demande des sanctions contre les auteurs des violences
Le parti Socialiste juge peu crédible des élections récemment organisées au Burundi. Dans une déclaration de ce 26/7 le parti socialiste souligne que ces élections se sont tenues dans un climat répressif et d’intimidation généralisée. Le PS rappelle dans la même déclaration que le troisième mandat de Pierre Nkurunziza est une violation de la constitution et de l’accord d’Arusha. Ce parti appelle donc l’ONU, l’Union Européenne et l’Union Africaine à prendre des mesures visant à sanctionner les auteurs de la répression des violences. Ces trois organisations sont aussi invitées à contribuer à l’instauration des bases d’un dialogue afin d’éviter que la situation dégénère.
Les initiateurs de la campagne ''halte au troisième mandat'' se disent satisfaits des résultats déjà atteints
Trois mois jour pour jour ce dimanche 26/7 depuis le début des activités du mouvement ‘’ Halte au troisième mandat de Pierre Nkurunziza’’. La société civile, parrain dudit mouvement se dit satisfait des résultats déjà atteints. Selon Vital Nshimirimana, délégué général du Forum pour le renforcement de la société civile (FORSC), Pierre Nkurunziza sera considéré comme chef d’Etat jusqu’au 26 août, date de la fin de l’échéance de son deuxième mandat. Après Pierre Nkurunziza sera simple citoyen, poursuiviable pour les crimes commis ajoute le délégué général du FORSC. La société civile burundaise se dit également satisfaite que le Président américain Barack Obama ait déclaré que les élections tenues au Burundi ne sont pas crédibles. La société civile burundaise a aussi transmis le message au Président américain
C’est sans surprise que le Président Pierre NKURUNZIZA a été réélu pour son troisième mandat tant contesté par les Burundais que par la communauté internationale. Le président sortant a été réélu à 69.4I%, son opposant Agathon Rwasa de la coalition des indépendants Mizero y’Abarundi vient en deuxième position avec 18.99% avec une participation de 73.43% au niveau national selon Pierre Claver Ndayicariye, Président de la commission électorale CENI. L’annonce a été faite ce vendredi après-midi devant les journalistes et quelques délégués de chancelleries à l’exception des chancelleries occidentales non représentées à ces cérémonies.
Dans la ville de Bujumbura, du Nord dans la commune Ntahangwa zone Kamenge en passant par la commune Mukaza en plein centre ville de Bujumbura au Sud dans la commune Muha tout était calme comme si aucun événement n’avait lieu. Pas de manifestation de joie ou de protestation de ces résultats. Un membre du parti au pouvoir CNDD-FDD se disait « fier que candidat ait gagné ». Mais à Musaga, les gens « grincent » des dents en affirmant qu’ils vont « continuer à protester ces résultats des présidentielles ».
Ces résultats provisoires des présidentielles doivent être validés par la Cour Constitutionnelle avant d’être définitifs. La candidature du Président Pierre NKURUNZIZA pour briguer un 3ème mandat a provoqué depuis fin avril des manifestations réprimées dans le sang avec plus de 70 morts selon l’APRODH (association de défense des doits de l’homme et des prisonniers), plus de 500 personnes arrêtées et plus de 150.000 réfugiés. Au-delà de la contestation à l’intérieur du pays, plusieurs pays partenaires du Burundi ont également déclaré illégal ce 3ème mandat qui viole la Constitution et les Accords d’Arusha et menacé de prendre des mesures restreignantes à l’endroit du Burundi.
« Dans la vie, faut pas accepter d'être un figurant et être utilisé comme un objet, il faut avoir la fierté d'être Humain comme Dieu vous a créé. »
C'est l'héritage que le médiateur burundais dit avoir laissé aux jeunes scolarisés et déscolarisés dimanche dernier.
Elections présidentielles : la communauté internationale unanime sur le manque de crédibilité du scrutin de ce mardi 21 juillet
Les Etats-Unis, la Belgique, la France mais aussi le Royaume-Uni sont très critiques vis-à-vis du Gouvernement par rapport au vote de ce 21 juillet. Certaines puissances occidentales menacent de réévaluer l’aide financière apportée au Burundi à l’issue de ce scrutin qui devrait consacrer le Président Nkurunziza pour un 3ème mandat très contesté.