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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Débat ce jeudi au parlement européen sur la situation des droits de l’homme au Burundi. Ce débat se tient depuis la matinée en ce jeudi à Strasbourg en France, des officiels haut-placés de l’Union Européenne y sont attendus. Le vote de la résolution sur la situation des droits de l’homme au Burundi se fera l’après-midi de ce jeudi. D’après des informations recueillis auprès des participants au débat, un accent particulier sera mis sur le cas de Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH, leader dans la défense des droits humains au Burundi, actuellement malade et en détention suite à l’exercice de son métier.  

Une enfant d’à peu près 3 ans a été retrouvée enfermée dans un véhicule hier soir mardi à Ngagara ici en mairie de Bujumbura. Celui ayant entendu ses cris a fait un bon geste et l’a tirée de cette voiture puis l’a amenée chez lui. Selon nos sources, c’est le vrai papa de l’enfant qui l’a abandonnée dans sa voiture en plein milieu de la nuit.    

La petite fille d’environs 3 ans s’appelle Samuella. Elle était enfermée dans une voiture bloquée dans le parking devant le bureau communal de Ngagara. Après minuit, quand un certain Berry Barubanza rentrait, il a entendu un enfant pleurer et il s’est approché. Il a vu cette fillette fatigué et piquée de moustiques sur tout son visage. Alors il a appelé sa femme et la police. Ils ont brisé la portière de cette voiture pour faire sortir l’enfant.  Cette famille est partie avec l’enfant abandonnée. Les informations qui nous parviennent révèlent que cette enfant a été amenée par une personne habitant le quartier 5 et qui travaille à la brasserie BRARUDI. Pour preuve, la voiture portée la plaque numéro CA 8621 appartient à cette même personne. Depuis  la matinée de ce mercredi, la police attendait que le propriétaire revienne récupérer la voiture pour être interrogé mais en vain.

Pour le moment, la famille qui a sauvé la vie de cette fillette demande aux administratifs et à la police de tout faire pour arrêter le propriétaire de ce véhicule. Nous continuons à chercher l’administrateur de la commune Ngagara pour s’exprimer sur cette affaire.               

L’association APRODH demande la libération immédiate des 3 membres de la famille d’Anselme Ntahondereye à Bukinanyana en province Cibitoke. Il s’agit de cet homme condamné par le Tribunal pour le meurtre du père de Gervais Ndirakobuca, chef de cabinet au Service national de renseignement. Le Tribunal de grande instance de Cibitoke avait pourtant décidé leur libération, mais la police a aussitôt arrêté pour la seconde fois ces 3 personnes.

Ces trois personnes ont été arrêtées par la police à Cibitoke, il y a plus de 3 semaines. Ils étaient présumé coupables de

« La police a présenté jusque là les résultats d’enquête préliminaires sur l’assassinat des 3 religieuses italiennes. » C’est le point de vue du président de la LDGL. Pour Cyriaque Ndayisenga, des enquêtes minutieuses et fouillées s’imposent pour que les auteurs soient punis exemplairement.

Le président de la LDGL demande également des enquêtes conjointes des gouvernements burundais et rwandais pour connaitre l’identité des corps flottant sur le lac Rweru ainsi que la cause de leur mort.

Il s’agit d’une fouille perquisition qui inquiète. Ce jeudi matin, la police a opéré une fouille perquisition dans quelques maisons de la commune Kinindo. Parmi les maisons perquisitionnées se trouve celle d’’un officier supérieur de l’armée toujours en fonction. Il s’agit du Général Sylvestre Nimubona. Les policiers qui ont opéré cette fouille perquisition s’étaient munis d’un mandat de perquisition délivré par le procureur général de la république, Valentin Bagorikunda. Par rapport aux inquiétudes suscitées par cette fouille au domicile d’un officier supérieur de l’armée, les deux porte-paroles de l’armée et de la police nous ont dit ne pas être encore au courant de cette opération.

Ils réclament plus d’une année de salaire. Une cinquantaine d’habitants de la commune Buganda en province Cibitoke affirment n’avoir pas perçu leurs salaires alors qu’ils ont construit le stade de football de Buganda. Ces habitants disent qu’ils sont menacés lorsqu’ils réclament leurs dus. Le gouverneur de la province Cibitoke promet de résoudre ce problème d’ici deux semaines.

Une liste des noms des opposants politiques suscite des inquiétudes des défenseurs des droits humains dans la commune de Gasorwe à Muyinga. Cette liste aurait été dressée par les militants du parti CNDD-FDD au cours d’une réunion tenue récemment dans cette commune et les membres du parti FNL seraient les plus visés. Interrogé, l’administrateur de la commune Gasorwe, cité aussi pour avoir participé dans cette réunion, indique que le parti CNDD-FDD  a le droit d’organiser des réunions comme tant d’autres partis et qu’il ne voient d’éléments gênants pour ce parti.

Céléstin Misago, l’un des présumés voleurs d’armes à la position policière de Nzewe en commune Gahombo, province Kayanza, est mort cette nuit. Il est mort au cachot de cette commune, beaucoup soupçonne qu’il serait mort des coups lui infligés par des policiers. Le Commissaire de police dans la province de Kayanza, lui, avance que Céléstin Misago a été battu ses codétenus. Ce que réfutent les défenseurs des droits de l’homme de l’APRODH qui demandent des enquêtes indépendantes pour établir la lumière.  

Human Rigths Watch pointe du doigt les soldats du contingent de l’AMISOM d’avoir abusé et exploité sexuellement des femmes et des jeunes filles en Somalie. C’est du moins ce qui ressort d’un rapport sorti ce lundi pour cette ONG américaine. Contactée à propos, l’Union Africaine en charge de l’AMISOM dément et promet de faire ses propres enquêtes.

Dans ce rapport de 81 pages intitulé : « Le pouvoir que ces hommes ont sur nous : Exploitation et abus sexuels commis par les forces de l’Union Africaine en Somalie », l’ONG HRW affirme détenir des informations selon lesquelles des soldats de l’AMISOM ont exploité et abusé sexuellement des femmes et des jeunes filles somaliennes.

Pour se faire, ces soldats de l’AMISOM utilisent l’aide l’humanitaire, l’eau et les médicaments en guise de monnaie d’échange pour contraindre les femmes et les jeunes filles somaliennes à avoir des rapports sexuels. Le rapport de HRW cite le cas d’une jeune fille de 15 ans qui est allé à la base du contingent burundais pour obtenir des médicaments pour sa mère malade. Un interprète somalien lui a demandé de suivre deux soldats burundais pour avoir les médicaments. Cette jeune fille a été violée par l’un des soldats. Puis à la fin de son acte, le violeur a donné dix dollars américains à la jeune fille toujours d’après ce rapport.

L’ONG HRW a pu relever ces abus sexuels dans deux bases militaires situées à Mogadiscio. Cependant, tout porte à croire que ce phénomène s’observe un peu partout en Somalie où se trouve des troupes de l’AMISOM.

HRW a rencontré 21 femmes et jeunes filles somaliennes qui ont raconté avoir été violées ou sexuellement exploitées par les militaires ougandais et burundais. Cependant, plusieurs femmes ou jeunes filles somaliens n’ont pas voulu témoigner soit par peur de représailles de la part des islamistes Al Shabab ou de la part de leurs propres agresseurs ou soit encore pour ne pas être blâmées par leurs propres familles.

Pour finir, l’ONG HRW appelle dans ce rapport, tous les bailleurs internationaux en particulier les Nations Unies, les Etats-Unis d’Amérique, l’Union Européenne ainsi que le Royaume-Uni à peser de tout leurs poids sur les pays ayant fourni des troupes dans le contingent de l’AMISOM. Cela  afin que les soldats égarés de ce même contingent soient sérieusement sanctionnés selon les lois internationales.          

Rénovat Nduwayezu demande une assistance financière aux bienfaiteurs pour qu’il puisse aller se faire soigner la colonne vertébrale au Rwanda. Un montant de 8 millions de francs burundais est nécessaire pour que ce jeune homme de 25 ans subisse une opération chirurgicale. Rénovât Nduwayezu dit que sa santé est en danger. Le compte numéro 68820 est ouvert à la CECM pour quiconque veut lui apporter une assistance financière. Vous pouvez également le contacter par téléphone au 71234188 ou au 75174340.                              

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