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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Les personnes qui font du transport en commun à l’aide de motocyclettes communément appelées « motards » accusent les policiers de les arrêter injustement. Ces motards affirment que ces policiers saisissent leurs motos tout en étant en tenue civile et ils ne leur présentent pas leurs cartes de service. Ces motards se demandent alors comment ils vont subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles.

Les autorités administratives à Muyinga n’ont pas pu organiser l’opération de repêchage des corps qui flottent sur le lac Rweru depuis quelques jours. Selon le gouverneur de Muyinga, ces corps sont en décomposition avancée. Aline Manirabarusha ajoute qu’il est par conséquent difficile d’identifier ces corps, la cause de leur décès ou encore s’ils ont été jeté dans l’eau depuis le Rwanda voisin ou du côté du Burundi. L’administration précise que ces corps seraient au nombre de 5 mais les pêcheurs affirment qu’ils en ont vu plus de 40. Une commission d’enquête a été mise sur pied par les deux pays à savoir le Rwanda et le Burundi.

C’est dans la consternation patente, que le peuple burundais apprend, ces derniers temps, des décès successifs des mères qui accouchent et d’autres patients. A l’origine, une négligence stupide qui n’a pas son nom : le manque de sang pour perfusion. Et pire encore, le manque des outils pour la collecte du sang.

Une situation des plus loin incompréhensible au 21è siècle où tous les moyens sont réunis pour parer à de telles éventualités. Cela fait un bon bout de temps que dans les hôpitaux, à travers le pays, on crie au manque du sang. Il semble que nos autorités, si elles ne sont pas complètement sourdes, ont pris à la légère la question.

Aujourd’hui, qu’on enregistre des morts, l’heure sonne pour établir les responsabilités. Le peuple burundais a besoin d’explications. Du sommet de l’Etat jusqu’au plus bas niveau de l’échelle dans la chaîne de collecte de sang, tout le monde doit fournir des explications.

Il est inadmissible que la seule explication au manque de sang soit le manque des poches de collecte de sang. Excusez, la tautologie. A ce niveau, qui est responsable de quoi ? Le Centre National de Transfusion Sanguine ? L’autorité de tutelle en l’occurrence la ministre de la Santé publique ? Le ministre des Finances ? Les marchés publics ? Ou le gouvernement entier qui n’a pas donné assez de moyens pour ce secteur ?

En tout état de cause, il y a moyen de remonter la pente et trouver le responsable. Malheureusement, il faut déplorer que la guerre des commissions prime sur la vie des citoyens. Car, comment expliquer que les stocks s’épuisent sans constater le besoin de nouvelles commandes de poches de sang ? Ou encore, comment expliquer les commandes goutte à goutte des poches de sang : 600 par ici, 1200 par-là, ainsi de suite pour un pays doté d’infrastructures sanitaires suffisantes comme aime à le venter le numéro un burundais ?

Déplorable encore, c’est le silence complice de nos hautes autorités. Comme perchés dans leur sphère extra- terrestre, aucune autorité n’a daigné faire le déplacement sur les lieux des désastres, ne fût- ce que pour consoler les familles éprouvées ou faire un discours à la nation.

D’aucun ne cesse de s’interroger sur la place accordée à l’intérêt humain dans le choix de nos priorités. Comme si le gouvernement contrôlait l’action du parlement, des ministres se plaisent à raconter des ragots aux députés de l’hémicycle peu inhabituel de Kigobe. L’exemple le plus récent est celui du ministre en charge de l’Environnement qui prend comme priorité le remboursement des arbres fruitiers au détriment des populations du site de Gatunguru sous menaces d’éventuelles inondations à l’approche des saisons des pluies.

Tout porte à croire que la légèreté est devenue un mode de gouvernance du gouvernement mais surtout du parlement censé contrôlait, sous d’autres cieux, l’action du gouvernement.

Devant ce tableau sombre, il n’est point de se poser des questions. Que celui ou celle qui se sent responsable de cette ignominie prenne le courage en main et démissionne. Le cercle n’est pas fermé. S’il s’avère que c’est la faute à tout le gouvernement, qu’il fasse autant ! Mais avant tout cela, il faut demander le pardon au peuple burundais tant éprouvé.

Lu par Palice Ndimurukundo

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La vente d’une maison située au quartier 5 à Ngagara fait objet de litige entre les membres d’une famille. Elle a été faite sans consensus et approbation de tous  les frères et sœurs ayant droits. Séraphine Nagahigi, l’une des sœurs qui s’opposent à cette vente demande au tribunal l’annulation de cette vente. Elle justifie que ce tribunal a statué sans vérifier ce qu’elle qualifie de faux documents utilisés par leur sœur, Thérèse Kayitesi.

Le ministère de l’Intérieur burundais a annulé ce jeudi la tenue du congrès du parti Alliance pour la paix, la Démocratie et la Réconciliation, APDR. Des non- dits se cachent derrière les chicanes internes au sein de ce parti.

Pour annuler la tenue du congrès de l’APDR, l’Assistant du Ministre de l’Intérieur, Thérence Ntahiraja a précisé

Deux familles de la commune Ngagara au quartier 5 demandent au tribunal de suspendre la décision de

Fabien Nduwayo, détenu depuis quelques jours à la prison de Mpimba est gravement malade. Il s’agit de ce frère de Pascal Bizimana

Les cotisations collectées depuis quelques semaines par le parti CNDD-FDD créent un climat malsain parmi la population. Un homme habitant la commune urbaine de Kamenge a passé la nuit menottée chez lui pou avoir refusé de contribuer 500 Fbu. C’est un certain Eric Nahimana, chauffeur de l’administrateur communal de Kamenge, qui lui a mis ces menottes. L’administrateur communal condamne ce comportement.

L’association APRODH dénonce l’attitude inhumaine qui a caractérisé deux policiers de garde du bar Iwabo w’abasigaye, indique Richard Nimubona, responsable de l’APRODH dans la région ouest. Ces deux policiers en compagnie d’autres jeunes de Kamenge ont battu Yacynthe Kizungu qui a succombé après suite aux blessures lui infligés.

 Les burundais du Canada originaires de la commune de Bukeye en province Muramvya viennent de voler au secours d’Aline Nsengiyumva. Cette diaspora dont l’ambassadeur du Burundi au Canada, Spéciose Nzeyimana, ont envoyé ce lundi dans la soirée

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