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“La voix des sans voix”

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Le sel qui a semé la confusion ces derniers jours au sein de certains ménages en mairie de Bujumbura doit être recherché partout et détruit parce qu’il ne remplit pas les conditions exigées. C’est ce qui ressort des analyses du Bureau de Normalisation et du contrôle de la qualité « BBN ». C’est après que ce sel ait transformé en bouillie certains aliments. Le directeur du BBN demande également la meilleure collaboration de l’OBR dans différents points d’entrée.

L’épidémie d’Ebora refait surface dans la province de l’Equateur au nord-ouest de la république démocratique du Congo. Les autorités sanitaires en RDC affirment que cette épidémie n’a rien à avoir avec l’épidémie d’Ebora qui frappe certains pays de l’Afrique de l’ouest. Le gouvernement burundais dit avoir déjà pris certaines mesures de prévention pour épargner le Burundi de cette épidémie. Sabine Ntakarutimana, ministre de la Santé publique, indique à ce propos qu’une unité de soins a été installée à l’aéroport international de Bujumbura, la préparation des chambres d’isolement à l’hôpital Prince Régent Charles et à l’hôpital Roi Khaled si un cas suspect venait à être déclaré ainsi que des séances de sensibilisation pour le personnel soignant et la population sur le mode de contamination et de prévention de l’épidémie d’Ebora.   

La ministre de la Santé a tenu ces propos lors de l’atelier sur le renforcement des capacités en nutrition pour la région de l’Afrique de l’est et australe. Et à ce sujet, le docteur Sabine Ntakarutimana déclare que 58 pourcent des enfants burundais de moins de 5 ans sont mal nourris. Des chiffres qui sont confirmés par l’UNICEF.

La situation de pénurie de sang se dénoue peu à peu à l’hôpital militaire de Kamenge où nos confrères se sont rendus, le service laboratoire indique que le Centre National de Transfusion Sanguine « CNTS » leur a fourni 15 poches de sang l’après-midi de ce dimanche. Jusqu’à 11 heures, 4 de ces poches étaient déjà utilisées. Dans ce service, l’on estime qu’il n’y aura pas de difficultés ce lundi mais reste sceptique quant à la situation des jours à venir.

La direction de l’hôpital Roi Khaled rassure que la situation s’est normalisée.  Nos reporters n’ont pas eu des informations à la clinique Prince Louis Rwagasore. Personne n’a voulu donner la situation en l’absence du médecin directeur de la clinique. Celui-ci est dans une mission de travail à l’intérieur du pays selon des sources à la clinique Prince Louis Rwagasore.

Et du côté du ministère des Finances, il rejette toute responsabilité dans la carence de sang observée ces derniers jours. Le porte-parole de ce ministère explique que les fonds pour l’achat des poches de sang étaient disponibles tout comme ils le sont actuellement. Le ministère des Finances attend que le ministère de la Santé publique en fasse la demande et il débloque les fonds nécessaires.

Le gouvernement devrait doter des moyens suffisants le Centre National de Transfusion Sanguine « CNTS » pour mettre fin à la carence de sang. Une carence qui a des conséquences graves sur les patients. Propos de Mélance Hakizimana, président du syndicat du personnel soignant, SYNAPA, dans  une conférence de presse qu’il vient de tenir. Selon lui, même le petit budget alloué au CNTS parvient à ce centre 2 mois après en provenance du ministère des Finances.

 

Reportage d'Olivier Bizimana

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La population doit arrêter de consommer tout sel suspect en attendant les analyses du Bureau Burundais de Normalisation et de contrôle de la qualité « BBN ». Déclaration de la chargée du Service inspection et surveillance du marché de ce bureau. C’est après que certains habitants de la mairie de Bujumbura aient soulevé leurs inquiétudes sur un sel qui a transformé leur nourriture en bouillie. Bernardine Sindakira précise également qu’il s’agit d’une importation frauduleuse puisque ce sel n’est jamais passé par le BBN pour contrôle comme la procédure normale l’exige.

La vente d’un sel qui transforme en bouillie certains aliments inquiète certains habitants de

Le manqué criant de poches de prélèvements de sang commence à avoir de graves conséquences sur les maladies. Une femme est décédée hier mardi après-midi après un accouchement à la clinique Prince Louis Rwagasore. Cette femme prénommée Bénigne venait d’accoucher par césarienne et était native de la province Mwaro. Depuis deux semaines, le Centre National de Transfusion Sanguine « CNTS » ne dispose plus de stocks de poches de prélèvements de sang. Le CNTS dit attendre une livraison de 5000 poches de prélèvements en provenance de l’Ouganda. Nous avons cherché la ministre de la Santé publique sans succès. Le porte-parole du ministère était également injoignable.

A ce propos, l’Association Burundaises des Consommateurs « ABUCO » se dit préoccupée par la situation qui prévaut dans différents districts  sanitaires suite à cette carence. Pour Amédée Ndagijimana, directeur de l’ABUCO, la ministre de la Santé publique devrait présenter sa démission.  

Et selon les dernières nouvelles, six cent poches de prélèvements de sang sont disponible depuis le soir de ce mardi dans le Centre National de Transfusion Sanguine « CNTS », il reste 4400 poches. Ces

La pénurie de poche de prélèvement de sang cause un manque de sang dans différents hôpitaux de la

Le ministère de la Santé publique a lancé ce mercredi matin une opération baptisée « automatisation des services de transfusion sanguine ». Déclaration faite par la directrice adjointe du Centre national de Transfusion Sanguine, CNTS en sigle. Le docteur Georgette Ndikubwayo affirme que ce nouveau dispositif permettra de faire un test de sang pour plusieurs personnes en un petit laps de temps. Et concernant des poches de sang et des réactifs qui manquent au sein du CNTS, la directrice adjointe du CNTS rassure que la question a été déjà transmise aux autorités compétentes.

Les principales personnes touchées et plus exposées à la contamination du SIDA, tuberculose et du paludisme doivent s’exprimer sur l’utilisation des financements du Fond Mondial pour ces trois maladies. Cela a été dit lors des activités du dialogue pays pour la définition des priorités d’investissement contre ces trois maladies à soumettre au Fond Mondial.
Docteur Gordien Ngendakuriyo, le premier vice-président de l’instance de Coordination nationale pour les subventions du Fond Mondial, précise qu’au sein de ce fonds, l’on estime que le projet de lutte contre ces maladies n’est pas parvenu à toutes les couches sociales.

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