Welcome to RPA   Click to listen highlighted text! Welcome to RPA Powered By GSpeech

Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

RPA

RPA

Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.

Ce sont 3 membres d’une famille d’un certain Burazinze rapatriés de la commune Gihanga en 2006. Ils sont détenus depuis une semaine accusés d’avoir violé la décision du tribunal de résidence de Gihanga. Dès leur arrivée dans une parcelle située au troisième avenu village 3 à Gihanga, ils se sont heurtés à l’opposition de la famille Ndikumagenge qui dit avoir acheté cette parcelle en toute légalité. Le procès a éclaté et la famille Ndikumagenge a obtenu gain de cause même dans les juridictions d’appel. Les trois fils aujourd’hui en prison ont introduit un recours en révision de ce procès auprès du ministre de la Justice. Ce qu’il leur accorda dans une correspondance qu’il a envoyée  au président du tribunal de résidence de Gihanga lui demandant de suspendre l’exécution de ce jugement en attendant de statuer sur la révision de ce jugement. Mais en date du 17 juin 2014, le président du tribunal de résidence a ordonné aux trois fils de Burazinze de ne plus mettre les pieds dans les deux champs en conflit. Les fils Burazinze demandent au ministre de la Justice de prendre en main cette question. Nous avons essayé de joindre le procureur de la république à Bubanza qui a émit les mandats d’arrêts mais son téléphone ne répondait pas.   

Une mésentente règne au sein du syndicat des magistrats du Burundi. Une partie des magistrats ne reconnait pas la représentation à la tête du SYMABU depuis le mois de février. Toutefois, Jean Pierre Munyembari réclame la présidence du syndicat pour avoir été élu par ses pairs et réfute toute idée de nouvelles élections, telles que le réclame les magistrats.

Selon différents procès-verbaux, il s’est tenu à Gitega le 16 février 2014, une assemblée générale élective du président du syndicat SYMABU qui porta à la tête Jean Marie Munyembari et Aimable Ntaconzoba ayant été élu comme vice-président. Selon le statut régissant le SYMABU, les deux élus présentent au congrès 5 membres du bureau exécutif national qui vont être approuvé par l’Assemblée séance tenante. Selon l’un des deux procès-verbaux établi par la commission électorale, le comité exécutif national présenté à l’Assemblée a été désapprouvé et l’article 23 du statut régissant le SYMABU indique que le rejet du bureau exécutif 2 fois successives par le congrès oblige le président élu à démissionner. Dans ce cas, il est organisé un congrès extraordinaire électif dans un délai ne dépassant pas un mois. Paradoxalement, deux procès-verbaux ont été signés par le président de la commission électorale, Septime Kimamba. L’un attestant la bonne tenue des élections l’autre affirmant qu’une polémique s’est observée liée au mode d’approbation et que par conséquent de nouvelles élections vont être organisées. Pour Jean Pierre Munyembari qui dit être président du SYMABU, les organes du syndicat sont tous là et sont fonctionnels. Il indique en outre ne pas être au courant de ce deuxième procès-verbal.

Certains magistrats avaient annoncé que le manque d’organes légaux bloque certaines réclamations des magistrats car n’ayant pas d’interlocuteurs reconnus par tous.           

La famille d’Anselme Ntahondereye condamne pour l’assassinat du père de Gervais Ndirakobuca surnommé Ndakugarika, chef de cabinet au service national des renseignements mais accuse les instances

Les membres de la famille d’Immaculée Nkenguburundi sont en train d’être emprisonnés un par un suite à l’assassinat du père de

Le tribunal de résidence de Ngagara a sorti son jugement dans le conflit foncier des parcelles situées à Kinyankonge. C’est la famille d’Edouard Rwayongwe qui remporte ce procès. Le tribunal exige à toutes les personnes qui ont bâties dans ces parcelles sans l’accord de la famille Rwayongwe de quitter les lieux. Cette famille ainsi que 3 autres familles avant elles deviennent donc les seuls propriétaires de ces parcelles de Kinyankonge. Elles demandent aux juges d’exécuter rapidement ce jugem

 

Désormais Pierre Claver Mbonimpa est intégré officiellement à la campagne « Personne en danger » de l’organisation Amnesty International. C’est le contenu d’une déclaration sortie aujourd’hui par l’organisation de défense des droits de l’homme qui estime que le président de l’APRODH est un prisonnier d’opinion.

 

 

Les instances judiciaires ont déjà commencé à instruire le dossier de Pascal Bizimana et de son frère Fabien Nduwayo. Déclaration ce jeudi du Procureur en Mairie de Bujumbura, Arcade Nimubona dans un entretien qu’il a accordé à la RPA. Toutefois, il fait savoir que le cas de torture de Fabien Nduwayo par des jeunes Imbonerakure est difficile à traiter tant qu’il n’y a pas de témoins à charge.

 

« Pascal Bizimana, ce citoyen de la localité de Carama, quartier périphérique au nord de la capitale Bujumbura, qui dit détenir des secrets sur les entraînements para- militaires des jeunes Imbonerakure du Cndd-Fdd au Congo et aujourd’hui en cachette de peur pour sa sécurité, s’est confié à la justice quand il a échappé de justesse à la mort », indique Arcade Nimubona, Procureur en Mairie de Bujumbura dans un entretien accordé à la RPA. Arcade Nimubona fait savoir qu’un des présumés auteurs de la fusillade contre Pascal Bizimana est en prison. Il s’agit de Noa Nduwimana cité par Pascal Bizimana parmi ceux qui ont tiré sur lui.

Pourtant, Pascal avait donné plusieurs noms à la justice qui n’ont jamais fait objet d’enquête. A cette question, Arcade Nimubona explique que les enquêtes sur ce dossier se poursuivent. Et d’ajouter : « Quand le parquet aura des éléments de preuves, tous ceux qui ont été cité dans cette affaire seront poursuivis ».

Quant au dossier de fabien Nduwayo, le frère de Pascal Bizimana, aujourd’hui en prison, le Procureur en Mairie de Bujumbura a répondu à la RPA que ce dossier est en cours d’instruction.

Pour rappel, avant d’être acheminé à la prison centrale de Mpimba, Fabien Nduwayo indique avoir été torturé à l’aide des machettes avec une grenade à la bouche tout en étant ligoté par des jeunes Imbonerakure sous l’ordre d’Albert Nkundwanabenshi, le chef du parti Cndd- Fdd au pouvoir dans la commune urbaine de Kinama.

Quand la RPA a cherché à savoir pourquoi le parquet et la police n’ont pas poursuivi ces personnes pourtant citées par la victime, Arcade Nimubona, Procureur en Mairie de Bujumbura, a expliqué que le parquet cherche toujours des témoins à charge. De plus, il en appelle à la famille, aux voisins et à toute personne ayant des preuves qui puissent décharger Fabien Nduwayo et charger les tortionnaires de coopérer pour que la justice soit faite pour Fabien Nduwayo.

Le syndicat SYGECO dénonce le comportement du conservateur des Titres fonciers qui ne cesse d’organiser

Retard de transmission des dossiers judiciaires à la Cour d’appel de Gitega pour les détenus

L’arrestation et l’emprisonnement de Fabien Nduwayo est entouré de beaucoup de mystère. C’est ce jeune homme, frère de

Faire un don

Nos journaux parlés

Qui est en ligne?

Nous avons 298 invités et aucun membre en ligne

Click to listen highlighted text! Powered By GSpeech