
RPA
Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.
Situation anormale à la prison de Bururi
Le président de la Ligue Iteka à Bururi demande que les tendances de la catégorie des détenus à la prison de Bururi soient inversées. Son constat est que le nombre des détenus prévenus est supérieur au nombre des détenus condamnés. Le procureur de la République à Bururi dit qu’il est à l’œuvre.
Ils se voient amputer de leurs terres
Inquiétudes grandissantes des habitants de la commune Giteranyi en province Muyinga frontalière avec la Tanzanie. A l’origine de ces inquiétudes, c’est l’installation de nouvelles bornes délimitant la frontière Burundo-Tanzanienne. Certaines de ces bornes sont désormais installées dans les propriétés privées. Les habitants demandent aux institutions compétentes de leur expliquer ce qu’ils vont devenir, d’autant plus que l’administration provinciale n’a pas été informée lors de ces travaux de nouvelle délimitation.
Les juges du tribunal de Grande Instance de Bujumbura se sont comportés en véritable accusateurs lors du procès de Pierre Claver Mbonimpa. C’est du moins le constat du bâtonnier de l’Ordre des avocats près la Cour d’appel de Gitega. Selon Maître Raphael Gahungu, les arguments avancés par la défense du président de l’APRODH sont fondés pour la mise en liberté provisoire. De plus, c’est mentionné dans la politique d’humanisation du droit pénal.
La défense du président de l’APRODH promet de faire appel
La loi a été violée dans l’affaire de Pierre Claver Mbonimpa. C’est la réaction de la défense du président de l’APRODH au lendemain de la décision du tribunal de grande instance de Bujumbura de maintenir en détention Mbonimpa. Maître Antoine Nzobandora se dit consterner par cette décision alors que la loi permet à Pierre Claver Mbonimpa de plaider tout en étant libre. Pour l’avocat, si les magistrats continuent à se comporter comme ils le font dans le procès Mbonimpa, ce sera la fin du système judiciaire burundais.
5 procès non encore tranchés au niveau de la Cour est-africaine
Isidore Rufyikiri dément les récentes déclarations officielles annonçant la victoire de l’Etat burundais dans tous les procès intentés contre lui devant la Cour est-africaine de justice. Pour Isidore Rufyikiri qui a introduit personnellement 9 affaires contre l’Etat burundais, à part 2 dossiers qui ont été classés irrecevables suite au dépassement des délais, 2 autres ont été tranchés au détriment de l’Etat et 5 restantes sont toujours pendantes devant cette juridiction. Selon Isidore Rufyikiri, de tels propos, qu’il qualifie de mensongers de la part du gouvernement burundais, ne visent qu’à décourager les burundais à saisir cette Cour est-africaine, une fois lésés par les juridictions burundaises.
L’association OAG rappelle les obligations du magistrat instructeur et de l’officier de police
Les justiciables devraient connaître les articles qui sont de nature à préserver leurs droits. Ceci, dans la mesure où leurs droits sont quelques fois bafoués par ceux qui sont censé appliquer la loi. Godefroid Manirambona, dans le cadre d’une campagne médiatique de l’OA, donne l’exemple d’un article qui plaide en faveur des justiciables à savoir les délais de garde à vue qui ne peuvent pas dépasser 7 jours à moins d’une prorogation autorisée par le procureur de la république. Si alors l’officier de police ou le magistrat instructeur dépasse ce délai sans motif valable, il s’expose aux sanctions de l’article 392 du code pénal.
Liberté provisoire refusée à Pierre Claver Mbonimpa
Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH, interviewé par la presse locale et internationale lors de sa comparution
Le tribunal de grande instance de Bujumbura décide de maintenir en prison Pierre Claver Mbonimpa. Le jugement est tombé ce mardi matin selon les avocats du président de l’APRODH. Pierre Claver Mbonimpa avait comparu vendredi en audience publique où la défense a demandé la mise en liberté provisoire de leur client suite à ses problèmes de santé. Le président de l’APRODH est incarcéré depuis le 16 mai soit 54 jours. Il est poursuivi pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat suite à des dénonciations qu’il a faites sur la présence des jeunes burundais armés sur le sol congolais qui suivent des entrainements paramilitaires. Les avocats de Pierre Claver Mbonimpa attendent de se réunir pour décider de la stratégie à suivre après ce jugement du tribunal de grande instance.
Controverse après la sortie de la liste de distribution des stands au marché de COTEBU
Des incohérences s’observent à propos du nombre total des places au marché provisoire de COTEBU récemment déclaré par la commission chargée d’attribuer des places dans ce marché. C’est ce que déclare le Syndicat Général des Commerçants « SYGECO » après qu’une liste des commerçants qui vont occuper le marché de COTEBU ait été affichée. Dans une conférence de presse animée par Audace Bizabishaka ce jeudi, président de ce syndicat, il démontre comment la commission de distribution des places au marché provisoire du COTEBU a maintes fois déclaré des chiffres différents des places disponibles à ce nouveau marché, soit 2552 stands, 2502 places disponibles, 2498 stands pour finir sur 2303 places à distribuer. Le syndicat SYGECO indique également selon ses sources qu’il y aurait des places non-comptées. Ce syndicat demande la mise en place d’un comité indépendant pour le recomptage des stands du marché pour qu’aucun commerçant qui avait un contrat avec la SOGEMAC ne soit lésé.
Le Conseil National des Eglises et le FOCODE se mobilisent pour des élections paisibles
Les femmes et les jeunes seront les grands piliers au cours des élections générales prochaines de 2015. C’est l’avis de l’évêque et représentant légal du diocèse de l’Eglise anglicane dans la province de Makamba. Le Conseil National des Eglises du Burundi a entamé ce mardi une campagne de mobilisation et de
PARCEM prône la libération de Pierre Claver Mbonimpa, défenseur des droits humains
« Provoquer des graves brouilles avec l’Union Européenne serait suicidaire pour le Burundi. » Déclaration de Faustin Ndikumana, président de l’association PARCEM après que le parlement européen ait demandé au gouvernement burundais de libérer Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH. Dans une conférence de presse de ce lundi matin, Faustin Ndikumana a rappelé les avantages que tire le Burundi des Accords de Cotonou qui lient les pays africains à l’Union européenne en matière de respect de l’Etat de droit et de gestion démocratique.