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“La voix des sans voix”

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Michel Nurweze surnommé Rwembe a comparu ce jeudi matin à la Cour d’appel de Gitega. Cet ancien commissaire adjoint de police à Gitega est accusé d’enlèvement de torture et d’assassinat. Mais son procès a été ajourné faute de témoins à charge. 2 policiers qui devaient le charger se sont absentés et cela pour la troisième fois.

La défense de Pierre Claver Mbonimpa demande le report du procès du président de l’APRODH. Un procès prévu demain jeudi. La défense justifie cette demande de report par la dégradation de l’état de santé du président de l’APRODH. Cette demande a été formulée dans une correspondance adressée au Tribunal de grande instance de Bujumbura.  

Dans cette conférence de presse, la défense de Pierre Claver Mbonimpa annonce qu’elle a adressé une correspondance au Tribunal de grande instance pour signifier que suite à l’état de santé de leur client, il n’est pas capable de comparaître comme prévu ce jeudi, précise Maître Antoine Nzobandora, un des avocats de la défense.

Et pour Maître Fabien Segatwa, aussi avocat de Pierre Claver Mbonimpa, la requête adressée au Tribunal de grande instance sera prise en considération car étant reconnu par la loi.

En outre, la défense de Pierre Claver Mbonimpa indique ne pas comprendre pourquoi la présence d’un grand dispositif de policier à l’hôpital où Mbonimpa est alité. Pierre Claver Mbonimpa a été emprisonné accusé d’atteinte à la sûreté intérieure et extérieure du pays.   

L’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture en France plaide pour la libération provisoire de Pierre Claver Mbonimpa. Clément Boursin, chargé de l’Afrique à l’ACAT-France se dit préoccupé de la santé du président de l’APRODH. Il demande un procès équitable et impartial et recommande à l’Union Européenne et autres diplomates présents à Bujumbura, de suivre de près le déroulement du procès.

L’ACAT-France a lancé un appel urgent au président Nkurunziza à travers une correspondance où il demande la libération provisoire du président de l’APRODH ainsi que la tenue d’un procès qui respecte les droits de la défense de l’accusé.

Comparution de Michel Nurweze alias Rwembe devant la Cour d’appel de Gitega ce jeudi. Il est accusé d’enlèvement de torture et d’assassinat des gens lorsqu’il était commissaire adjoint de la police dans la province Gitega. Michel Nurweze lias Rwembe avait déjà comparu à 2 reprises devant cette cour mais deux policiers convoqués par le procureur général près la Cour d’appel comme témoins à charge ne se sont jamais présentés.

 

20 ans de prison, c’est la peine infligée à une femme accusée d’avoir tué une fillette de 3 ans qui est aussi sa belle-fille dans la commune de Rugazi. Le Tribunal de grande instance de Bubanza a sorti ce jugement dans l’après-midi de ce 9 septembre. Son mari qui était sur la même accusation a été acquitté par le tribunal. Les défenseurs des droits humains saluent la rapidité qui a caractérisé ce procès.

La défense de Pierre Claver Mbonimpa demande le report du procès du président de l’APRODH. Un procès prévu demain jeudi. La défense justifie cette demande de report par la dégradation de l’état de santé du président de l’APRODH. Cette demande a été formulée dans une correspondance adressée au Tribunal de grande instance de Bujumbura.  

Dans cette conférence de presse, la défense de Pierre Claver Mbonimpa annonce qu’elle a adressé une correspondance au Tribunal de grande instance pour signifier que suite à l’état de santé de leur client, il n’est pas capable de comparaître comme prévu ce jeudi, précise Maître Antoine Nzobandora, un des avocats de la défense.

Et pour Maître Fabien Segatwa, aussi avocat de Pierre Claver Mbonimpa, la requête adressée au Tribunal de grande instance sera prise en considération car étant reconnu par la loi.

En outre, la défense de Pierre Claver Mbonimpa indique ne pas comprendre pourquoi la présence d’un grand dispositif de policier à l’hôpital où Mbonimpa est alité. Pierre Claver Mbonimpa a été emprisonné accusé d’atteinte à la sûreté intérieure et extérieure du pays.   

L’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture en France plaide pour la libération provisoire de Pierre Claver Mbonimpa. Clément Boursin, chargé de l’Afrique à l’ACAT-France se dit préoccupé de la santé du président de l’APRODH. Il demande un procès équitable et impartial et recommande à l’Union Européenne et autres diplomates présents à Bujumbura, de suivre de près le déroulement du procès.

L’ACAT-France a lancé un appel urgent au président Nkurunziza à travers une correspondance où il demande la libération provisoire du président de l’APRODH ainsi que la tenue d’un procès qui respecte les droits de la défense de l’accusé.

Les avocats de Chartière Bizimana torturé par l’officier de police Jean Bosco Cishahayo alias Kabanda se félicitent de la position prise par le procureur général près la Cour d’appel de Gitega dans l’affaire Bizimana contre Cishahayo. Cette autorité judiciaire dans l’audience publique de ce lundi a demandé l’audition de la victime et de ses témoins. Une procédure qui a été tout de suite suivie. Maitre Lambert  Nigarura, un des avocats de Bizimana, affirme que la prochaine audience publique ne sera pas peine perdue parce que tous les arguments et preuves sont à la disposition du magistrat.

Après de longues discutions dans la deuxième audience publique lors du procès opposant Jean Bosco Cishahayo alias Kabanda et la victime Chartière Bizimana, le ministère public représenté par le procureur général près la Cour d’appel de Gitega a fini par accepter d’auditionner Chartière Bizimana torturé par cet officier de police Jean Bosco Cishahayo.

Maitre Lambert Nigarura et les avocats de Chartière Bizimana se dit étonné. Au cours de cette seconde audience car dans la première, le procureur général près la Cour d’appel de Gitega a plaidé pour la libération provisoire de Jean Bosco Cishahayo. Mais ce lundi, Emmanuel Nyandwi a demandé d’auditionner la victime et les témoins à charge.

Maitre Lambert Nigarura ose espérer que dans la prochaine audience publique, l’affaire sera mise en délibéré car toutes les données nécessaires sont à la disposition du procureur général près la Cour d’appel de Gitega. Pour lui, c’est un sentiment de satisfaction.

Actuellement, Chartière Bizimana victime de la torture et sa famille sont en cavale par peur d’être assassiné et le présumé tortionnaire Jean Bosco Cishahayo alias Kabanda est dans la prison centrale de Gitega, il y a 4 mois et un jour.     

Deuxième audience publique ce lundi à la Cour d’appel de Gitega dans l’affaire de l’officier de police Jean Bosco Cishahayo surnommé Kabanda accusé de torture. Chartière Bizimana qui dit avoir été torturé par cet officier et ses témoins se sont présentés à l’audience comme demandé par le ministère public lors de la précédente audience au mois de juillet de cette année. Le ministère public a demandé à auditionner d’abord Chartière Bizimana et son avocat pour avoir de la matière pour la prochaine audience fixée au 6 octobre prochain.

Le Syndicat des Magistrats du Burundi pointe du doigt le magistrat Virginie Maribicuro comme étant à la solde d’une main invisible pour démanteler ce syndicat. Cela est contenu dans un communiqué sorti par les organes nouvellement élus pour diriger le SYMABU. Jean Pierre Munyembari, président du SYMABU, reproche au magistrat Virginie maribicuro d’avoir sortie un communiqué en date du premier septembre 2014 au nom d’une organisation dénommée Communauté judiciaire du Burundi où elle fustige les activités du syndicat SYMABU. Contactée à ce propos, Virginie Maribicuro fait savoir qu’elle fait partie du SYMABU. Ce que dément le président du syndicat SYMABU, Jean Pierre Munyembari. Certains magistrats soupçonnent la main du ministre de la Justice d’être à l’origine de la déstabilisation du SYMABU. Toutefois, nous n’avons pas encore eu la version du ministre de la Justice, Pascal Barandagiye. Il est en mission à l’étranger, avons-nous appris.

Deuxième audience pour ce lundi à la Cour d’appel de Gitega dans le dossier du Commissaire de police Jean Bosco Cishahayo dit Kabanda. Durant la première audience du 7 juillet dernier, le président de la Cour d’appel de Gitega avait recommandé la présence de la victime de torture lui infligée par ce policier. Finalement ladite victime fera part de l’audience.

Le ministre de la Justice est à l’origine des mésententes au sein du syndicat SYMABU, des mésententes qui viseraient à destituer le syndicat des magistrats. Ceci parce qu’ils demandent sans cesse le rapport des états généraux de la justice tenu à Gitega selon les magistrats au sein du SYMABU. Le ministère de la Justice rejette ces accusations.

Ces magistrats réunis au sein de leur syndicat indiquent que ce climat malsain proviendrait d’une main du ministre de tutelle. Ils affirment qu’ils ont tout fait pour pousser le ministère à rendre public le rapport final des états généraux de la justice tenue à Gitega. Un rapport qui contiendrait certains avantages pour les magistrats. Ceux qui disent être à la tête du syndicat « SYMABU » craignent que le climat qui prévaut au sein des magistrats soit à l’origine de ces réclamations. Pour le ministère de la Justice, le rapport des états généraux a été publié mais reste la fixation de la date de l’atelier de validation de ce rapport et l’on indique que le ministère ne s’ingère pas dans les activités du SYMABU. Pour le moment, deux procès-verbaux ont été établis par le président de la Commission chargée d’organiser les élections des organes du SYMABU, l’un porte à la tête du SYMABU, Jean Pierre Munyembari, l’autre montre les irrégularités qui ont entouré les élections et que par conséquent l’on doit reprendre ces élections. Septime Kimamba qui préside la Commission électorale se refuse de tout commentaire. Toutefois, certains magistrats affirment qu’ils vont beaucoup perdre d’autant plus qu’ils n’ont pas d’organes reconnus par le ministère de tutelle.      

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