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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

Disparition depuis plus d’une semaine d’un jeune homme de la commune et province Ngozi.

Le jeune homme avait été appréhendé par le responsable des imbonerakure en province Ngozi à bord d’une voiture de type TI aux vitres teintées. Sa famille déclare l’avoir cherché dans tous les cachots de la province Ngozi mais en vain.

Le jeune homme kidnappé s’appelle Jean Claude NZIGAMYE et est natif de la colline et zone Makaba en commune et province Ngozi.  Membre du parti CNL, il travaillait de manière indépendante. Des sources à Ngozi indiquent que  Jean Claude NZIGAMYE a été enlevé le 7 février par le responsable des imbonerakure en province Ngozi qui était à bord d’une voiture de Type TI. « Une voiture type TI aux vitres teintées et à son bord des hommes en civil armés de pistolet est venue. Celui qui a pu être identifié est MUSAFILI NIYONKURU, responsable des imbonerakure en province Ngozi. Les ravisseurs l’ont jeté dans une voiture. Il s’est débattu et a résisté mais ils ont été plus forts que lui », a révélé un témoin.  

La famille de la victime attribue l’imputation de la responsabilité de l’enlèvement à MUSAFILI NIYONKURU, chef des imbonerakure en province Ngozi. Apres sa disparition, ses proches ont cherché Jean Claude NZIGAMYE dans tous les cachots de la province Ngozi mais sans succès. « Au commissariat et dans tous les cachots de Ngozi, nous avons cherché mais nous n’avons pas pu localiser le lieu de sa détention. Seul  MUSAFILI NIYONKURU, responsable des imbonerakure a pu être identifié. Jusqu’à maintenant, nous lançons un appel pour le retrouver car nous ignorons dans quel endroit il se trouve »,a indiqué un des proches de la victime. 

En 2005 alors élève en 9ème année, Jean Claude NZIGAMYE avait rejoint les rangs du Palipehutu - FNL encore au maquis.

MUSAFILI NIYONKURU, chef des imbonerakure en province Ngozi, a également été pointé du doigt dans le kidnapping d’un autre jeune du nom de Pacsal COYITUNGIYE le jour de nouvel an  de 2022 toujours au chef-lieu de la province Ngozi.

A ce propos, la rédaction n’a pas pu joindre MUSAFILI NIYONKURU, le chef des imbonarakure en province Ngozi et les responsables de la police à Ngozi pour qu’ils s’expriment sur cette disparition.

Meurtre par étranglement d’une jeune fille à Bubanza

Une jeune fille du nom d’Emelyne NDAMUHAWENIMANA a été tuée la nuit de ce mercredi par des gens non encore identifiés dans la localité de Ku Cuma du secteur de Gahongore en Commune et province Bubanza Cette jeune fille rentrait de la zone Mitakataka où elle avait passé sa petite soirée.

Ce mercredi, Emelyne NDAMUHAWENIMANA s’est rendu à Bujumbura pour vendre de la banane. Selon notre source à Bubanza, Emelyne NDAMUHAWENIMANA est, de retour de Bujumbura, passé rendre visite à sa grande sœur qui vit en zone Mitakataka. Elle a quitté chez sa soeur vers 21 heures.

Arrivée dans la localité de Ku Cuma du secteur Gahongore, Emelyne NDAMUHAWENIMANA a été tué par étranglement à l’aide de son foulard qu’elle enfilait normalement sur sa tête. D’après ceux qui ont vu la dépouille, les bourreaux de cette victime l’auraient violé étant donné que sa petite culotte avait été déchirée.

Pour le moment, sa dépouille repose à la morgue de l’hôpital Bubanza.

Emelyne NDMUHAWENIMANA vivait avec ses parents à la périphérie du chef-lieu de la province Bubanza dans la localité de Kidahwe.

Le féminicide à l’honneur au Burundi.

Une femme de la province Bubanza e été tuée poignarder par son  marie la nuit dernière. Il s’agit d’une 4ème  femme tuée au Burundi  en l’espace d’une semaine.

Le drame c’est passée sur la  colline GAHWAZI en commune MPANDA la soirée de ce  dimanche. Un  homme a  poignardé sa  femme  qui était enceinte. La femme est morte sur le champ.

Des informations recueillies auprès de l’admiration locale indiquent que  l’auteur de ce crime a été arrêté  par le voisinage. L’administration se réjouit qu’il ait été directement remis à la police.

Le corps de la  victime a été transporté à la  morgue de l’hôpital Mpanda. En province Bubanza  il s’agit d’une 2ème femme tuée  en  l’espace de  4 jours. Une autre jeune fille avait été tuée à Gahongore en  commune Bubanza  le neuf de ce mois. Les auteurs  qui n’ont pas été identifiés l’ont étranglé à l’aide d’un foulard après l’avoir violée.

Une autre femme a été tuée  le  même jour en commune Mabanda de la province Makamba. L’auteur du crime, son mari, a également été tué l’enfant que portait la  victime. Une 4ème  femme a été tuée à Bururi le 8  février. L’auteur est un policier qui a tué cette femme après  l’avoir violée.

Quatre des cinq cadavres des militaires burundais ont été repêchés dans la rivière Rusizi.

Quatre cadavres des cinq militaires burundais morts noyés dans la rivière Rusizi la semaine dernière auraient été repêchés. Les informations en possession de la RPA indiquent que l’armée burundaise se préparerait actuellement pour leurs obsèques.

 Les cadavres qui auraient été déjà repêchés sont ceux de Caporal-chef Sinzinkayo Jean de Dieu, Caporal Nduwimana Aaron, 2ème  classe Ndayikejimana Alexis et 2ème   Classe Harerimana Jean-Claude. Mais, leurs fusils seraient toujours portés disparus.

Les sources de la RPA au bureau de l’Etat-Major Général de l’armée burundaise révèlent que ces militaires étaient affectés sur une position établie en République Démocratique du Congo tout près de la rivière Rusizi. Selon toujours ces sources, ils n’étaient pas avec d’autres militaires burundais se trouvant en RDC. Ces sources révèlent que ces militaires se sont noyés en cours de leur mission quotidienne qu’est celle de ravitailler en vivres et en bois de chauffage les militaires burundais qui se trouvent en RDC.

L’enterrement des 4 corps des militaires retrouvés est programmé à partir de ce samedi. Les obsèques sont actuellement en cours de préparation et se feront suivant l’arrivée de leurs familles, selon nos sources.

Ces militaires se sont noyés dans la rivière Rusizi le 1er de ce mois au nombre de 11 et six ont survécu. Des cinq militaires morts noyés, seul le corps de l’Adjudant- Chef  Emmanuel Nkeshimana n’a pas encore été retrouvé. 

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