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Depuis ce Lundi 13 juillet, une reprise des cours se remarque dans pas mal d'écoles primaires et secondaires de la ville de Bujumbura.

Seize étudiants de l’université de Mwaro ont été renvoyés définitivement de cet établissement privé il y a plus de 3 mois. Le ministre de l’Enseignement supérieur a demandé au recteur de cette université de leur autoriser à regagner les auditoires mais en vain. Ces étudiants qui avaient représenté leurs camarades de classe pour protester contre le changement de nom de leur filière des sciences infirmières, demandent l’intervention du président de la république.

Et la police a bloqué les étudiants ce mardi matin au moment où ils avaient organisé une longue marche vers la prison centrale de Mpimba pour visiter leurs collègues incarcérés depuis le 14 de ce mois. Ces prévenus sont accusés de l’outrage au chef de l’Etat burundais.

Le président du syndicat du personnel de l’Université du Burundi appelle tous les étudiants de cette université à regagner les autorités. Pour rappel, ces étudiants avaient arrêté les cours pour protester contre le fait que des étudiants de l’Institut Supérieur des Cadres Militaire « ISCAM » aient frappé quelques un parmi eux, lors du bizutage. D’après le professeur Pascal Kakana, président du syndicat du personnel enseignant de l’université du Burundi, la grève de ces étudiants de l’Université du Burundi n’a pas raison d’être car l’université n’est pas responsable de ce qui s’est passé. Le professeur Pascal Kakana demande aux étudiants d’entendre le rapport de la commission mise en place pour établir les responsabilités mais en étant dans les auditoires.

Décision de proclamer aux élèves leurs notes. Cette décision a été prise dans une réunion tenue le matin de ce mercredi au Lycée municipal de Kamenge à propos des manifestations des élèves de la dixième année dudit lycée depuis ce lundi. Pour cause, ces élèves étaient obligés de reprendre les examens du premier trimestre suite à un cas de tricherie dénoncé au cours de ces examens alors que, selon eux, l’accusée n’était pas encore punie.

Selon Henri Ntagwarara, le directeur de l’enseignement en commune Kamenge, la décision de proclamer aux élèves leurs notes est prise mais ceux-ci devraient savoir comment faire leurs requêtes. Aussi, les enquêtes vont continuer à propos de l’élève Suavis Kigeme accusée d’avoir tricher aux examens mais cette fois-ci, elles seront faites par la police. Et le délégué général des élèves leur demande de ne pas accuser qui ce soit avant que les enquêtes ne soient clôturées.

Sit-in ce lundi matin des élèves de la 10ème année du Lycée municipal de Kamenge devant leur école. Le motif est de montrer leur mécontentement face à l’impunité de leur camarade qui aurait volé les questionnaires d’examen du premier trimestre. Ces élèves se disent également contre la décision de la direction de refaire les examens avant l’établissement des responsabilités dans ce vol des questionnaires d’examen.           

Tout à commencer avec des rumeurs au cours des examens du premier trimestre. Une élève du nom de Suavis Kigeme était en possession de tous les questionnaires des examens avant même la passation des épreuves.  Et jusqu’alors rien n’a été fait pour punir ce vol malgré qu’il ait été dénoncé bien avant. Selon ces camarades de classe, ils ne comprennent pas comment ils seraient tous victimes d’une seule élève et reprendre tous les examens alors que celle-ci n’a même pas été sanctionnée. Ces élèves se demandent aussi comment la dite élève soit en possession de tous les questionnaires d’examen. Ils attribuent alors la responsabilité à leur préfet des études puisque selon eux, Suavis Kigeme ne peut pas collaborer en même temps avec tous les professeurs. Le directeur du Lycée municipal de Kamenge, lui, croit que ces élèves ont d’autres intentions en dehors de celles pédagogiques. Signalons que le problème s’est aggravé jusqu’à l’intervention de la police, qui, à son tour, aurait tabassé les élèves et détenu un d’entre eux du nom de Blaise Havyarimana de la 9ème année.   

 

« La situation décrite par le président de la république concernant la

Les étudiants de l’Université du Burundi ont suspendu les

Les états-généraux de l’éducation s’ouvrent ce mardi. Les différentes réformes comme l’Ecole fondamentale et le système BMD (Baccalauréat-Master-Doctorat) vont y être réorganisés. Dans ces états généraux de l’éducation, le dossier controversé de la bourse d’études va également être traité. Mais il y a des dossiers comme celui de plus de 400 étudiants qui n’ont pas encore obtenu leur diplôme.

Il y a de l’espoir que les problèmes qui hantent l’enseignement du primaire et du secondaire soient débattus demain mardi lors des états-généraux de l’éducation. Cependant, des inquiétudes persistent notamment la mise en exécution des recommandations de ces états-généraux, analyse Eularie Nibizi, l’une des leaders des syndicats des enseignants du primaire et du secondaire.

Pour le personnel enseignant de l’université du Burundi aucun espoir du résultat positif de ces états-généraux car les principaux concernés n’ont pas été invités, déplore aussi Pascal Kakana, président de l’association des professeurs de l’université du Burundi.

Les étudiants des universités publiques rappellent qu’ils ne regagneront pas les auditoires tant que les textes régissant les diplômes du système BMD ne seront pas élaborés. Ces étudiants de l’université du Burundi et de l’Ecole Normale supérieure indiquent qu’ils ont tenu à rappeler leur position puisque, selon eux, le gouvernement n’a rien fait de concret sur la problématique depuis le début de la grève il y a environ deux mois. Ils l’ont exprimé dans une conférence de presse de ce mardi.

Déception totale des professeurs de l’université du Burundi lors de la célébration hier jeudi du cinquantenaire de cet établissement publique. Des festivités où l’absence du président de la république et du ministre de l’enseignement supérieur ont été remarqués. Selon Pascal Kakana, président du syndicat du personnel enseignant de l’Université du Burundi, cela démontre des problèmes sérieux de gouvernance à l’université, mais aussi que ce cinquantenaire a été très mal préparé. Professeur Pascal Kakana parle aussi du manque de vision à cette université d’autant plus que les étudiants sont en grève.   

Les étudiants de l’université du Burundi avaient pour leur part boycotté ces cérémonies du cinquantenaire suite au manque de dialogue qu’ils imputent au rectorat de l’université. Et cela pour des questions concernant notamment la valeur du diplôme du nouveau système BMD.

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