
RPA
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Des musiciens enthousiasmés malgré l’exil…
Un groupe de cinq musiciens burundais réfugiés au Rwanda ont continué d’exercer leur métier à Kigali. Quel a été leur début à kigali ? Qu’est-ce que ce métier leur apporte financièrement ?
Né, il y a une année, ‘’ Amararo ‘’ est un groupe traditionnel composé de burundais réfugiés au Rwanda. Il exerce ses activités dans la ville de Kigali et est souvent présent dans les cérémonies de dot ou de mariage. A part aider dans l’agrémentation des cérémonies ; Amararo s’est donné pour mission la sauvegarde de la culture du pays de Mwezi Gisabo.
Chanteur, inspiré, même durant la traversée du désert...
Réfugié au camp de Mahama au Rwanda, âgé de 25 ans, Vianney Niyonkuru connu sous le sobriquet de ‘’Full Stop’’ est chanteur et exerce son métier dans différents cabarets. Il a commencé à chanter depuis quand ? Où en est-il actuellement et quelles sont les difficultés auxquelles il fait face ?
Un concert en cours de préparation sera animé ce mardi à Kampala par le chanteur burundais Thomas Nzeyimana alias Mkombozi. Ce dernier demande aux réfugiés burundais vivant dans cette capitale ougandaise de répondre massivement à ce concert car un message important leur sera adressé.
Quand l’exil n’arrive pas à briser les rêves…
Les danses latines, notamment la salsa, sont très prisées par les burundais réfugiés au Rwanda. Landry Rama Bayikorere en est l’un des danseurs.
La culture burundaise à l’honneur d’une journée organisée par les burundais réfugiés en Ouganda
Les réfugiés burundais résidant dans la ville de Kampala en Ouganda organisent ce vendredi 1er novembre une journée culturelle. Selon les représentants de ces réfugiés, cet évènement a pour objectif de promouvoir la culture burundaise et sera une occasion de collecter des fonds pour venir en aide aux plus nécessiteux.
Vivre de ses chansons, un rêve devenu réalité pour les réfugiés burundais
Omer Habarugira, est un élève réfugié au Rwanda, plus précisément au camp de Mahama. Agé de 23 ans, il est chanteur compositeur. Qui que n’ayant pas d’équipements nécessaires pour produire des chansons, il parvient à survivre en tant que rescapé du conflit burundais datant de 2015 et faire vivre sa famille.
La Salsa, loisir et gagne-pain chez des jeunes réfugiés burundais
La danse Salsa, une passion pour des jeunes burundais réfugiés qui en ont fait un métier. Une année après l’ouverture d’un club de danse Salsa à Kigali, Mike Marorerwa un des pionniers de ce club se dit très satisfait du pas déjà franchi malgré les quelques soucis auxquels ils font face.
Une réfugiée burundaise au rang des écrivains internationaux
Grande passionnée de lecture et de la littérature française, Ketty Nivyabandi a su se faire à son tour un nom dans la cour des grands. Son poème ‘’ Trois ethnies ‘’ fera partie désormais des leçons de cours de français en classe terminale dans les pays francophones du monde. Cette jeune burundaise réfugiée au Canada exprime au travers de son poème son ressenti par rapport à la guerre, l’ethnie, la tristesse des parents et la femme. Son objectif est clair, inciter à l’introspection pour aboutir au changement de mentalité et d’action.
L’art à la rescousse des réfugiés burundais
Depuis 2015, la crise socio-politique que traverse le Burundi a contraint à l’exile des milliers de burundais. Ces derniers ont eu des difficultés à s’adapter, mais certains ont essayé et un peu réussi à mener un combat à la vie. La RPA a visité Yannick Mpundu, un burundais exilé à Kigali au Rwanda depuis 2015. Avant de quitter le Burundi en 2015, ce jeune homme était journaliste d’un medium en ligne au Burundi. Arrivé au Rwanda, il a manqué de travail et s’est orienté dans un domaine de l’art, confectionner des perles de femmes.