Welcome to RPA   Click to listen highlighted text! Welcome to RPA Powered By GSpeech

Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

RPA

RPA

Selfies labore, leggings cupidatat sunt taxidermy umami fanny pack typewriter hoodie art party voluptate. Listicle meditation paleo, drinking vinegar sint direct trade.

Le représentant légal de l’Institut Technique ITEM renie catégoriquement que les frais de minerval ont été revus à la hausse. Ceci après que des élèves de cette école ont observé un sit in hier mardi devant le bureau du directeur de cette école. Aloys Baricako ajoute en outre qu’il a été exigé aux élèves de s’acheter des syllabus de cours, car dit-il, c’est une des exigences du programme du ministère de la Santé.

Sachez que tous les élèves de la troisième année à l’institut ITEM auraient été expulsés par la direction de cette école. Nous n’avons pas encore obtenu la confirmation du représentant légal de cette école. C’est une information à laquelle nous reviendrons dans nos éditions ultérieures.

Les élèves de l’Ecole paramédicale ITEM de Bujumbura ont fait un sit in devant le bureau du directeur de cette école. Ces élèves s’insurgent contre la récente décision de revoir à la hausse des frais du minerval. Les dirigeants de cette école auraient opéré cette rehausse des frais scolaires sans consultations préalables avec le comité des parents, selon toujours ces élèves.

Les élèves de l’école paramédicale ITEM contestent la décision du directeur de cette école de revoir à la hausse le minerval. Ce minerval s’évaluent à un montant de 500.000 Fbu l’année dernière et cette année-ci elle s’évalue à 700.000 Fbu par élève. Autre décision que ces élèves contestent farouchement, c’est que la direction de cette même école les a exigé d’acheter des syllabus des cours. Des syllabus qui couteraient excessivement plus cher. La troisième et dernière pomme de discorde est que la direction de l’école exige à ces élèves d’acheter des uniformes de service dans les enceintes de cette même école. Or ces mêmes uniformes couteraient 30.000 Fbu la pièce dans cette institution alors que dans différents marchés à Bujumbura ces mêmes uniformes coûtent 8.000 Fbu seulement. Nous avons essayé de contacter le représentant légal de l’école ITEM mais il était en réunion.

Les pédagogues en formation d’enseignement dans les écoles fondamentales des communes Bubanza et Gihanga

Plus de 2300 cas de grossesses non désirées ont été enregistrés au cours de l’année 2013 dans différents

Les étudiants qui ont commencé l’enseignement supérieur avec le système Baccalauréat-Master-Doctorat « BMD » réclament les textes

Les médecins étudiants en troisième cycle annoncent qu’ils vont entamer un mouvement de grève et ce à partir du 11 de ce mois. Ces médecins demandent au gouvernement de leur fournir tous les moyens nécessaires pour qu’ils puissent continuer leur spécialisation à l’étranger, annonce faite par le docteur Pacifique Njejimana, délégué des médecins résidents en troisième cycle à la faculté de médecine à l’université du Burundi.

Plus de 9.000 enfants ont abandonné l’école durant l’année 2013-2014 à Karusi. Les principales causes sont la pauvreté et les grossesses précoces chez les élèves. Ces statistiques sont déclarées par la direction provinciale de l’éducation à Karusi.

Le programme d’enseignement patriotique initié par le président de la république pour la population n’est pas laxiste comme le pensent certains. C’est en substance la réaction du porte-parole du numéro un burundais, Léonidas Hatungimana. Ce communicateur à la présidence de la république indique que ce programme d’enseignement patriotique va toucher également les hauts cadres du pays et conseille à la PARCEM de ne pas taxer tous les dirigeants de corrompus. Léonidas Hatungimana fait savoir également que ce programme vise à éduquer la population afin de dénoncer toutes corruptions pour préserver l’intérêt et le bien public. C’est après les inquiétudes soulevées par l’association Parole et Action pour le Réveil des Consciences et l’Evolution des Mentalités « PARCEM ». Des inquiétudes selon lesquelles ceux qui sont censés donner le bon exemple dans la gouvernance et l’amour de la patrie sont les plus corrompus.

Les élèves du Lycée Ngagara sont en grève depuis la nuit dernière. Ces élèves affirment qu’ils sont mal nourris et maltraités à l’école. Echangeant violemment avec les agents de la police qui les bloquaient le chemin pour les empêcher de manifester devant le lycée, ces élèves furieux scandaient des chansons engagées. « Nous voulons manifester dans la rue car nous subissons de la maltraitance », a annoncé Dieudonné NDIKURIYO, doyen de ce lycée, dit ENE. Ce dernier affirme que depuis quelques temps, ils consomment de la nourriture avariée et de très mauvaise qualité. « La nourriture que nous consommons est déjà pourrie surtout le haricot et le riz, et l’hygiène fait défaut dans nos dortoirs ainsi que dans les toilettes et les douches », a décrit le doyen des élèves de l’ENE. Dieudonné NDIKURIYO s’étonne de ce traitement envers les élèves surtout en ce qui concerne la nourriture car, selon lui, certains aliments comme les amarantes sont cultivées sur les terres appartenant au lycée. Mais, « nous ne savons pas où va les récoltes », a-t-il conclu.
Le directeur du lycée ne nie pas certaines des revendications de ces élèves. Tharcisse BENDANTOKIRA appelle néanmoins ces élèves à regagner les salles de classe et dialoguer ensuite. Le directeur, plutôt confiant, annonce qu’en collaboration avec ses autorités hiérarchiques, il va assainir le climat, « à chaque problème, on doit trouver une solution », a-t-il indiqué. C’est en uniforme de couleur noire et blanche que ces élèves ont entamé ce mouvement de grève. Mais vers 10h50’, une réunion a été convoquée par les 2 parties, à savoir les élèves et la direction de l’école pour trouver une solution à ce mouvement de grève. 800 élèves internes sont concernés par cette grève.

Le mouvement de grève des étudiants de l’Universite du Burundi et de l’Ecole Normale Supérieure est suspendu depuis ce mardi 6 mai. C’est ce que viennent d’annoncer les représentants des étudiants de ces universités publiques. Cependant, ces étudiants demandent au ministre de l’enseignement supérieur de mettre en application, à son tour, les clauses de la réunion du personnel enseignant de l’Universite du Burundi notamment l’octroi de la bourse aux étudiants redoublants. « Nous avons eu quelques réponses à nos revendications », a déclaré Arsène ARAKAZA, l’un des représentants de ces étudiants. Toutefois, " le président de la République doit annuler son décret" sinon, "ils reprendront le mouvement de grève", ont-ils menacé.
De son côté, le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique promet de respecter les clauses du corps professoral à condition que les étudiants regagnent les auditoires. « Nous sommes prêt de discuter, seulement qu’ils retrouvent effectivement le chemin de l’auditoire, a annoncé Joseph BUTORE, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Rappelons que les étudiants des universités publiques viennent de passer près de deux mois en grève.

Faire un don

Nos journaux parlés

Qui est en ligne?

Nous avons 422 invités et aucun membre en ligne

Click to listen highlighted text! Powered By GSpeech