La correspondance date du 4 janvier. Ces députés de la coalition Amizero y’abarundi rappellent que ces contributions forcées exigées, violent la constitution du Burundi, surtout en son article 7. De plus, ces députés doutent de la destination de ces contributions étant donné que le montant exact pour les élections de 2020 n’a jamais été fixé.
En outre, dans cette correspondance, ces députés s’insurgent contre les contributions exigées aux fonctionnaires de l’Etat. Par ailleurs, ils font savoir que l’argent destiné pour l’organisation des élections est normalement voté dans le budget national.
De surcroit, ces députés trouvent injuste que des contributions soient exigées à la population qui est terrassée par une pauvreté sans précédent.
Pour conclure, ces députés disent ne pas comprendre pourquoi ces contributions pour les élections de 2020 sont déduites sur leurs salaires alors qu’ils paient les taxes comme tous les Burundais.