Un dialogue franc entre le gouvernement et les importateurs du carburant s’avère impératif pour discuter du prix et mettre fin à la pénurie actuelle de ce produit. C’est du moins le point de vue de Faustin Ndikumana, président de l’association Parole et Action pour le Réveil des Consciences et l’évolution des mentalités « PARCEM ». Ainsi, pour cet activiste de la société civile, cela pourra aboutir finalement à résoudre les difficultés liées à la divergence et au double langage du gouvernement à propos du manque de devises pour importer le carburant.