La Commission médicale réquisitionné par le Tribunal de grande instance pour le cas de Pierre Claver Mbonimpa confirme l’état de santé dégradant du président de l’APRODH. Le rapport a été rendu public ce vendredi matin au cours d’une audience publique au tribunal. Deux autres maladies ont été détectées chez le sexagénaire défenseur des droits humains en plus du diabète et de l’hypertension. La défense, le ministère public et la partie civile se sont convenus que Pierre Claver Mbonimpa a besoin d’une libération provisoire. Maitre Antoine Nzobandora, un des avocats de Mbonimpa, dit être confiant que le tribunal dans sa décision qu’il sortira lundi prochain ne passera pas outre aux désirs des partis au procès. En outre, le ministère public et la partie civile ont demandé au siège, que s’il libère Mbonimpa, de poser des conditions qui garantiront sa disponibilité à la justice.