C’est le cas de Guillaume Harushimana qui, selon le témoignage de l’un des bourreaux des religieuses, a facilité l’accès à l’intérieur de la Paroisse Guido Maria Comforti de Kamenge en habillant les tueurs de robes d’enfants de chœurs. A la télévision nationale ce mercredi, il a expliqué qu’en date du 6 septembre 2014, à la veille du crime, il n’était pas au Burundi. Mais des informations bien vérifiées par la RPA attestent que Guillaume Harushimana était bien au pays. Les visas d’entrée et de sortie dans son passeport sont des faux, ce qu’a confirmé la Direction de la Police des Frontières.
Affaire des sœurs italiennes assassinées : les personnes citées dans les révélations de la RPA tentent maladroitement de s’innocenter
Des montages seraient en train d’être concoctés par certaines des personnes citées dans l’affaire d’assassinat des trois religieuses d’origine italienne. L’objectif est de montrer qu’elles n’étaient pas au pays au moment du crime.
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