Selon Gabriel RUFYIRI, président de l’OLUCOME, le Burundi n’a pas respecté certains critères pris en compte dans le classement.
Le président de l’Olucome évoque au passage le manquement du Burundi à un accès équitable aux marchés public et un fonctionnement juste de la justice burundaise.
Cependant, la Banque Mondiale met un accent particulier sur des critères qui attirent les investisseurs étrangers dans le business. Il s’agit de
‘’La création d’entreprise, l’obtention d’un permis de construire, l’obtention d’un prêt bancaire, la protection des investisseurs minoritaires, le paiement colossal des taxes et impôts, l’absence d’un commerce transfrontalier, le retard dans l’exécution des contrats, le règlement d’insolvabilité et le transfert des propriétés’’, dit Gabriel Rufyiri, président de l’Olucome.