‘’Lorsque les policiers sont arrivés, le groupe a disparu’’, indiquent les réfugiés.
Mais les mêmes sources soulignent que ces jeteurs de pierres ont réapparu après le départ des policiers. ‘’Ces personnes ont repris le jet de pierres sur la maison du chef de la zone 1 une dizaine de minutes après le départ des policiers’’, rapportent les réfugiés de la zone 1. Ces derniers expliquent que, cette fois-là, les réfugiés de la zone 1 sont intervenus et ce groupe a disparu pour de bon.
Interrogés sur le motif probable de l’attaque menée au domicile du chef de la zone 1, les réfugiés indiquent qu’ils n’en savent rien.
Ces réfugiés burundais du camp de Nduta demandent qu’ils soient convenablement protégés.