campagne comme ils l’ont annoncé dans une conférence de presse. Selon Vital Nshimirimana Président du FORSC, un troisième mandat du Président reviendrait à faire un coup d’Etat constitutionnel. Le processus électoral se trouve à la croisée des chemins à cause de l’ambigüité volontairement entretenue par le Président de la République et son parti au sujet de ce troisième mandat, ajoute-t-il.