Le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) estime qu’en Afrique, 66% des filles ne disposent pas d’une bonne information sur la menstruation avant d’être confrontées à leurs premières règles, ce qui rend l’expérience négative, et parfois traumatisante.
Côté réfugiés, les femmes et filles burundaises sont confrontées à diverses difficultés liées à l’hygiène menstruelle.