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Radio Publique Africaine
“La voix des sans voix”

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Ce lundi 13 octobre, les Burundais commémorent le 53ème anniversaire de l’assassinat du Prince Louis Rwagasore, héros de l’indépendance du Burundi. Le Prince Louis Rwagasore a été assassiné le 13 octobre 1961 juste un mois après la victoire du parti UPRONA, laquelle victoire permettra au Burundi d’accéder à son indépendance en 1962.

Le Prince Louis Rwagasore a bel et bien commence ses activités politiques en 1956. C’était après ses études en Belgique où il retourne au Burundi. En 1958, le Prince Louis Rwagasore et ses compagnons crée le parti UPRONA qui mène campagne au sein de la coopérative qu’il avait appelé COPICO. Le parti UPRONA a été agrée le 7 janvier 1960. Durant cette même période, le Roi Mwambutsa lui confie l’honneur de diriger la chefferie de Butanyerera de la région de Ngozi, une partie de Kayanza et de Gitega.

Cependant Rwagasore, lui, voulait l’indépendance immédiate de son pays et renverser la colonie belge. Dans le congrès du parti UPRONA organisé entre le 14 et 20 mars 1960, Rwagasore demande l’indépendance sans aucune condition. Rwagasore exige aux Barundi le boycott des marchandises belges et le non payement des impôts. Du 27 août au 9 décembre 1960, le Prince Louis Rwagasore est arrêté par l’autorité belge et il est incarcéré en résidence surveillée à Bururi. C’est au moment où les élections communales sont organisées au mois de novembre alors que Rwagasore se trouve sous les verrous.

Le parti PDC allié des belges gagne les élections. Le Prince Louis Rwagasore et ses compagnons dont Paul Mirerekano, Thadée Siryuyumunsi et Valentin Bankumuhari contestent le résultat électoral. Ils écrivent en ce sens une pétition aux Nations-Unies pour la surveillance des élections parlementaires du 18 septembre 1961. L’ONU s’exécute illicopresto et surveille les élections. Le parti UPRONA gagne haut la main ce scrutin historique sur 80 voix contre 20 voix du parti PDC.

Le Prince Louis Rwagasore est nommé Premier ministre du Burundi le 29 septembre 1961 et un mois après, il est fauché le 13 octobre 1961 au bord du lac Tanganyika alors qu’il formait le gouvernement du Burundi indépendant.       

Dans l’un de ses célèbres discours prononcé au lendemain de la victoire du parti UPRONA, le Prince Louis Rwagasore a prophétisé qu’en l’absence des leaders dignes le Burundi ne connaitra jamais la dignité, l’honneur et le développement. « La justice est fondamental pour les Burundais », rappelle toujours l’homme qui a pesé de tout son poids au risque de sa vie et de ses privilèges pour libérer les Burundais du joug colonial.

Et déjà au lendemain de la victoire de son parti, le Prince Louis Rwagasore se souciait de l’unité, de la démocratie et de bonne gouvernance au sein de sa formation politique. Il a interpelé les Badasigana, militants du parti UPRONA, d’être une référence de bonne cohabitation et de sagesse pour les Burundais. Louis Rwagasore préconisait ainsi des sanctions sévères à l’endroit des corrompus.

Mais à Gitega, ville qui l’a vu grandir, on nous rapporte que le buste du Prince Louis Rwagasore a été brisé par un malade mental il y a de cela 3 mois. La population dans cette province se demande pourquoi ce buste n’a pas été encore réparé jusqu’ici par les autorités qui jouissent des fruits de sa lutte.  Interrogée, l’administration provinciale annonce que tout est en train d’être fait pour sculpter un autre buste.        

Deux plaints ont été adressées au Conseil National de la Communication en moins de 24h pour demander des sanctions contre la Radio Publique Africaine et de l’exiger à révéler ses sources. Ces plaintes viennent du cabinet du gouverneur de Bubanza, Anselme Nyandwi, et de la direction du parti au pouvoir CNDD-FDD. C’est à propos des informations sur le mouvement des jeunes burundais qui seraient en train de quitter le Congo en possession d’armes.

En date du 8 octobre 2014, le gouverneur de la province Bubanza, Anselme Nyandwi, a porté plainte contre la RPA et son journaliste Gilbert Niyonkuru pour selon lui imputation  dommageable suite aux informations diffusées depuis ce mardi 7 octobre sur les coups de feu qui ont été entendus à Gihanga dans la nuit du 5 octobre 2014. Anselme Nyandwi, gouverneur de la province Bubanza, continue dans cette lettre adressée au CNC en disant que Gilbert Niyonkuru a affirmé que parmi les Imbonerakure qui ont attaqué la localité, il y a un qui a été capturé par les militaires burundais nommé Edgard qui serait le neveu du gouverneur. Et que donc il demande au CNC de sanctionner la RPA mais également exiger la radio et le journaliste de décliner la source. En moins de 24 heures, le parti CNDD-FDD emboite le pas en formulant à l’endroit du CNC presque la même plainte également contre la RPA et son journaliste Gilbert Niyonkuru. Dans cette plainte, le président du CNDD-FDD, Pascal Nyabenda, dit que la Ligue des jeunes Imbonerakure est un mouvement politique intégré au parti et que donc dire que l’attaque qui a été menée sur la position des militaires burundais a été perpétrée par des jeunes Imbonerakure revient à affirmer que c’est le parti CNDD-FDD qui a mené cette attaque. Le CNC, quant à lui, a déjà convoqué le directeur de la RPA et cela dans l’intervalle des deux plaintes pour réagir. Les informations dont dispose la RPA font savoir que ces deux plaintes constituent le début d’un processus longuement planifié destiné soit à engager des procédures judiciaires contre certains journalistes dont le plus visé serait Gilbert Niyonkuru qui est parmi les principaux enquêteurs sur l’affaire Kiliba-ONDES ou soit procéder à la fermeture de la station             

Le directeur de la RPA ne s’est pas expliqué au Conseil National de la Communication comme s’était prévu ce vendredi. Il a demandé un autre rendez-vous pour que l’avocat de la RPA puisse étudier le dossier. Le rendez-vous est donc fixé pour mardi 14 octobre 2014.

Un important groupe d’hommes est entré ce mardi soir sur le sol burundais en provenance de Kiliba-Ondes en République Démocratique du Congo. Parmi ces hommes, les uns étaient en uniforme militaires et d’autres en civile, témoigne la population de Vugizo-Warubondo. Pour le moment, un groupe d’hommes dits Imbonerakure sont cantonnés dans la localité de Mugubuka frontalière avec le Congo.      

Ce mouvement inhabituel à la population de Vugizo-Warubondo a commencé ce mardi vers 15h00. Des hommes à pied, d’autres à moto et des camions bourrés d’hommes en uniforme traversant le poste-frontière de Vugizo, témoignage de cette femme de Vugizo-Warubondo qui a assisté à la scène. Cette femme ajoute qu’il s’agissait des jeunes Imbonerakure. Parmi ce convoie, il y a  un groupe de ces jeunes qui a été cantonné dans la localité de Mugubuka. L’équipe de la RPA s’est rendu sur place ce mercredi. La localité de Mugubuka est situé à quelques 500 mètre d’une des positions militaires montée tout près d’une étable de vache sur la route Gatumba-Vugizo-Warubondo.

Vers 13h25, ces jeunes Imbonerakure préparaient leur nourriture et étaient gardés par des militaires burundais et quelques agents du Service National des Renseignements « SNR ». A 20 mètre de ce cantonnement notre équipe observait la fumée. Informé d’une éventuelle menace, notre équipe a rebroussé chemin car, déjà sur le chemin vers cette localité, elle a aperçu des véhicules à bord desquels des agents du SNR facilitaient le transport des jeunes Imbonerakure, les uns pour échapper au cantonnement, les autres pour se rendre dans une réunion à Gatumba avec les responsables au plus haut niveau de la Ligue des jeunes du CNDD-FDD.

Par ailleurs, notre équipe a trouvé une camionnette double cabine, garée non loin de la frontière à Vugizo-Warubondo. Selon des témoignages recueillis sur place, elle appartiendrait à Denis Karera, président de la Ligue des jeunes du CNDD-FDD, parti pour calmer les jeunes cantonnés, précisent les mêmes témoignages.

Des sources dignes de foi nous indiquent que certains agents du SNR se préparaient pour déplacer ces jeunes Imbonerakure de la localité de Mugubuka vers d’autres localités à partir de ce jeudi.             

Les militaires burundais et les jeunes Imbonerakure qui étaient signalés au Congo auraient été contraints de quitter le territoire congolais depuis hier mardi et certains seraient déjà arrivés au Burundi. Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, qui aurait exigé ce départ relativise et parle d’un mouvement habituel. Pour lui, il ne s’agit pas d’un départ forcé mais plutôt d’un mouvement de départ normal qui s’inscrit dans le cadre des allers et venues du personnel militaire des deux pays.

S’exprimant sur la question des jeunes Imbonerakure qui auraient également été renvoyés, le ministre congolais dit ne pas être au courant de la présence de ces jeunes et pense que la réponse à cette question revient aux burundais.

Le groupe armé qui a lance une attaque sur Kagwema de la commune Gihanga ce dimanche était composé des jeunes Imbonerakure.  Ces derniers s’exerçaient à des entrainements militaires sur le sol congolais. Les nouvelles à la disposition de la RPA recoupent l’information selon laquelle la personne pour le moment cachée après avoir été capturée a une relation de parenté avec le gouverneur de Bubanza. Interrogé par la RPA, Anselme Nyandwi, gouverneur de la province Bubanza, déclare ne pas connaitre le jeune homme incriminé.

Des sources proches du groupe armé accusé d’avoir lancé une attaque sur une position militaire basé près d’un chantier d’une sucrerie de la société « Tanganika Business Company » informent que le dit groupe était composé de jeunes Imbonerakure. Ils étaient au nombre de 31 personnes et portant des armes. 27 d’entre eux étaient vêtus d’uniformes de l’armée burundaise, précisent les mêmes sources. Des nouvelles à la disposition de la RPA font état de la composition de ce groupe par des jeunes qui s’entrainaient militairement à Kiliba ONDES sur le sol congolais. Depuis quelques temps, ils étaient hébergés dans la localité de Vugizo Walubondo située à Gatumba dans la commune Mutimbuzi de la province Bujumbura. Ce lundi, André Munuko, chef du village de paix de Kagwema a déclaré qu’un des assaillants a été capturé vif après cette attaque. Ce responsable à la base a informé à la RPA de l’acheminement du prisonnier de guerre à la position militaire. Interrogés, les militaires ont renvoyé la RPA au commissaire provincial et au gouverneur de la province Bubanza. Commissaire Remegie Nzeyimana a répondu que toute information en rapport avec la personne capturée devrait être recherchée du côté du gouverneur de Bubanza, Anselme Nyandwi. Ce mandataire public a nié catégoriquement disant ne rien connaitre sur ce jeune homme.

Des informations recueillis par la RPA près des sources proches du groupe armé qui a lancé l’attaque indiquent que ce jeune homme exfiltré par la police et l’administration aurait pour nom Edgar, un des jeunes Imbonerakure de la zone Muramba de la commune Bubanza. Les mêmes sources qui parlent d’une relation de parenté de neveu à oncle entre ce jeune capturé et Anselme Nyandwi, le gouverneur de Bubanza.

Le nom de code de ce jeune durant les entrainements était « Ndiwenumuryango », selon d’autres sources de Kiliba. Interviewé, le gouverneur de Bubanza a déclaré que parmi ses parentés aucune ne porte ce nom et ne faisait partie d’aucun groupe de combattants.

Les mêmes sources indiquent qu’après cette attaque, ce groupe a traversé la Rusizi en direction de la localité de Mwaba située dans le quartier 6 de Kiliba-ONDES.

Le porte-parole de l’armée, Colonel Gaspard Baratuza, avait parlé plus tôt de bandits qui avaient lancé une offensive avec des tirs nourris de loin.          

Nous apprenons que des tirs ont été entendus hier soir lundi à Maraba dans la zone tampon entre le Congo et le Burundi. Mais nous n’avons pas pu joindre le porte-parole de l’armée pour plus d’éclaircissement.

Un mort et un blessé parmi les assaillants, c’est le bilan d’une attaque d’hommes armés à Rukoko de la province Bubanza. Cela suite aux coups de feu entendus dimanche soir dans la réserve naturelle de la Rukoko. C’est dans la commune Gihanga de la province Bujumbura. Sur place, on parle d’une attaque d’hommes armés non identifiés. La  crainte règne au sein de la population.

Cette attaque qui a duré une dizaine de minute a eu lieu entre la troisième et la quatrième transversale de la commune Gihanga. La population du village de paix de Kagwema fait savoir qu’elle a entendu des coups de feu dans les plantations de canne à sucre et a pris fuite. Les sources sur place indiquent qu’une personne est morte parmi les assaillants et un blessé du côté des civiles. Contacté à propos, André Munuko, chef de village de paix de Kagwema parle d’une personne arrêtée parmi les assaillants et qu’il se trouve sur la position militaire. Et à cet endroit indiqué par le responsable du village de paix, les soldats qui s’y trouvent indiquent que la personne arrêtée a été amenée par le gouverneur de la province Bubanza, Anselme Nyandwi. Interrogé, ce dernier a nié être au courant de cette arrestation mais a révélé être au courant de cette attaque depuis dimanche matin.

Côté armée, le colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de la Force de Défense Nationale « FDN », parle des bandits qui ont tiré de loin. Le corps de la personne tuée a été déplacé et était visible à côté de la position militaire. A cet endroit, il y a avait du sang et des douilles. Des informations à la disposition de la RPA font savoir qu’il s’agirait plutôt des jeunes Imbonerakure installés à Rukoko qui ont été intercepté par les forces de l’ordre alors qu’ils venaient s’approvisionner en nourriture.       

Contestation des membres de la CEPI dans la province Gitega par certains partenaires politiques. Ceux-ci disent que cette Commission électorale provinciale indépendante est composée à majorité par des proches du parti au pouvoir et d’autres représentent des organisations de la société civiles qui n’opèrent pas à Gitega.

Et à Ngozi, la mise en place de la Commission électorale provinciale indépendante n’a pas respecté les quotas ethniques, ont indiqué les partis politiques d’opposition et la société civile. Sur 11 membres de cette commission 2 sont des tutsi, le troisième tutsi représente les batwas.

En province Cibitoke, la Commission électorale provinciale suscite des contestations au sein de certains partis politiques et associations de la société civile. Et pour cause, certains membres de la CEPI-Cibitoke se réclament être des militants des partis politiques qu’ils n’auraient en réalité jamais intégré. Parmi ces membres  de la CEPI, aucun ne se réclame du parti CNDD-FDD, mais le parti au pouvoir ne proteste pas, ce qui crée encore plus d’inquiétudes des autres partis politiques.

Le Conseil national de sécurité condamne la diffusion de ce qu’il qualifie de fausses informations non vérifiées par certains médias qui sont de nature à confiner la population dans la peur et le doute. Cela est contenu dans un communiqué de presse sanctionnant la réunion des membres du Conseil national de sécurité ce lundi, sous la présidence du chef de l’Etat. Le Conseil national de sécurité dit condamner les actes de sabotages liés à la manipulation et la propagation de rumeurs dans l’objectif de faire régner la psychose d’insécurité, poursuit le communiqué.

Pour le Conseil national de sécurité, les quelques incidents à l’origine des différentes formes de criminalité et des violences isolées sont liées au banditisme, aux conflits fonciers et la détention illégale d’armes à feu. Le Conseil national de sécurité demande aux corps de défense et de sécurité de prendre toutes les mesures nécessaires pour sauvegarder la paix et la sécurité et poursuivant l’encadrement des comités mixtes de sécurité, peut-on lire dans ce communiqué.

« La Cour spéciale des Terres et autres Biens vient confirmer que la Commission nationale des Terres et autres Biens « CNTB » est un Etat dans un autre Etat. » Réaction du député Bonaventure Niyoyankana sur la récente promulgation de la loi mettant en place cette Cour spéciale par le Président de la république, Pierre Nkurunziza. Selon cet élu du peuple, cette cour risque de provoquer le désordre social car, a-t-il ajouté, cette cour vient court-circuiter la Commission Vérité-Réconciliation et la Constitution qui précise les procédures judiciaires. Pour conclure, Bonaventure Niyoyankana affirme que cette cour s’autodétruira.

Vous saurez que le Président de la république a promulgué la loi mettant en place la Cour spéciale des Terres et autres Biens le 15 septembre dernier.

Pierre Claver Mbonimpa ne relâchera pas sa lutte pour les droits de l’homme et des prisonniers. C’est la toute première réaction du président de l’APRODH au lendemain de sa mise en liberté provisoire conditionnée par le Tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura. Plusieurs activistes de la société civile venus rendre visite à Pierre Claver Mbonimpa à l’hôpital se disent satisfaits de sa libération.

Dans son lit d’hôpital, le président de l’association pour la défense des droits de l’homme et des prisonniers dit être satisfait de sa libération provisoire avec des conditions. Mais selon Pierre Claver Mbonimpa, cette libération sous conditions c’est comme le maintenir en prison. Quant à ceux qui croient qu’il va abandonner la lutte pour la défense des droits de la personne humaine et des prisonniers, ils se trompent car, a-t-il dit, il revient en force.

La société civile burundaise se dit satisfaite de cette libération de Pierre Claver Mbonimpa. Pacifique Nininahazwe affirme qu’avec cette libération provisoire de Pierre Claver Mbonimpa, ce serait une bonne occasion de libérer d’autres prisonniers politiques et d’opinion toujours incarcérés. Pacifique Nininahazwe, l’un des leaders de la fameuse campagne « Vendredi Vert » exige des enquêtes sur les informations selon lesquelles de jeunes burundais seraient en formation paramilitaire en RD Congo. Pierre Claver Mbonimpa est libéré provisoirement après 139 jours d’incarcération dont 109 jours passé à la prison centrale de Mpimba et 30 jours d’incarcération sous surveillance policière à l’hôpital BUMEREC. Il fut incarcéré après avoir affirmé détenir des preuves sur des entrainements paramilitaires des jeunes burundais à Kiliba-ONDES à l’Est de la RDC.   

Satisfaction également du côté de l’organisation Human Right Watch et de l’Union Européenne après la libération provisoire de Pierre Claver Mbonimpa. Dans un communiqué rendu public, HRW demande cependant au gouvernement de retirer toutes les charges qui pèsent sur cet activiste des droits de l’homme au Burundi. La délégation de l’Union Européenne quant à elle félicite la justice burundaise qui a fait prévaloir les principes d’humanité. Le gouvernement du Burundi salue également la mesure de mise en liberté provisoire de Mbonimpa et tient à préciser que cette décision n’est le résultat de quelques pressions que ce soit.

 

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